Hannah Planck
Présentation

Depuis toujours j'aime la poésie. J'aime énormément en lire et en écrire moi-même, mais il m'arrive aussi de rédiger des nouvelles. J'aime particulièrement les nouvelles de Maupassant, de Daniel Boulanger, de Flannery O'Connor, de Kate Atkinson et de Katherine Mansfield.

Hannah Planck a noté ces livres

3
@Caroline Morlat Mialaret Un titre magnifique et une prose d'une très, très jolie sensibilité, assurément un bonheur de lecture comme on n'en voit que trop peu ici. J'ai beaucoup aimé et je vous admire.
Publié le 27 Septembre 2022
1.8
@galodarsac Imaginez-vous que je fais la tournée des grands ducs ! Entendez que je visite celles et ceux qui ont eu la gentillesse de me laisser un commentaire. Toutefois, je n'ai aucune envie de jouer au renvoi d'ascenseur, ce jeu qui dévalorise tous les commentaires, qu'ils soient bons ou mauvais. Nous sommes assez adultes, n'est-ce pas ? pour ne pas nous prêter à ces simagrées-là. De plus, je veux qu'il soit bien entendu que l'avis qui va suivre n'appartient qu'à moi. Que, dès lors, il ne condamne en rien votre oeuvre, qu'il n'exprime qu'une opinion parmi d'autres et ne doit pas être apprécié autrement. Que de précautions oratoires ! me direz-vous. En effet, mais c'est parce que, bien que nouvelle sur monBestSeller, j'ai quand même eu le temps de comprendre que les susceptibilités étaient à vif sur le site. Bien, passons maintenant aux choses sérieuses (si on ose dire). Si je me montre avare en étoiles, c'est parce que, même si je reconnais l'ampleur de votre inspiration et la beauté de nombreux vers, je trouve que votre poème en contient beaucoup trop d'autres d'une méchante espèce. Je pense que cela vient en partie de ce que l'alexandrin, contrairement peut-être aux apparences, n'est pas le plus facile ni le plus maniable des vers. En effet, son rythme un peu lancinant peut facilement devenir soporifique et, ainsi, tromper même la vigilance de son auteur. C'est pourquoi, me semble-t-il, et peut-être contrairement à beaucoup d'autres (ce qui demeurerait à prouver !), l'alexandrin est le vers qui souffre le plus d'une construction et d'une prosodie qui ne seraient pas parfaites. Voilà. J'ose espérer que vous recevrez ce commentaire pour ce qu'il est, c'est-à-dire une simple opinion sans arrière-pensées, et qu'il n'interdira pas d'autres possibles échanges. Bien à vous.
Publié le 14 Septembre 2022
3
@Pierre d'Arlet Bonjour, monsieur. Etant actuellement en congé, je profite de mon temps libre pour rendre visite à celles et ceux qui ont eu la gentillesse de laisser un message sur ma page. Ca me paraît la moindre des politesses. J'ai donc lu votre poème et je suis heureuse de pouvoir dire que je l'ai beaucoup apprécié. Je ne vous ferai qu'une remarque que, j'espère, vous trouverez peut-être utile : dans les trois derniers vers de votre troisième strophe, je trouve que votre ponctuation est dommageable, en ce sens qu'elle interrompt à plusieurs reprises le murmure que vous évoquez. D'autre part, ne pas utiliser à cet endroit-là de virgules ne mettrait pas la syntaxe en péril . On pourrait aussi peut-être discuter du présent que vous employez (plutôt que l'imparfait) pour conjuguer le verbe "paître", mais je ne veux pas vous apparaître comme une empapaouteuse de mouches ! PS : J'ignorais les liens de Prévert avec La Hague. Merci d'avoir contribué ainsi à ma culture générale.
Publié le 14 Septembre 2022