Super ambiance, bizarre, très américaine, et pas que parce que cela s’y passe. La langueur, le rythme, les personnages, les scènes, le blues, la country, la musique omni présente avec un goût indiscutable, le road trip en Victory ou en truck, les motels miteux, les bars poussiéreux, et ce suspense diffus sur les différents personnages, tout y concourt. Merci pour le très bon trip. (ça serait assez nécessaire que vous modifiiez votre mise en page moins serrée et changiez votre typo minuscule du journal intime de Marjorine, on ne peut pas lire un mot !)

L’auteur lui-même n’aurait pas dit mieux que le commentaire de J.A. TOLENTINO. Je regardais le commentaire que j’avais écrit il y a qqs temps sur un autre de vos livres, je le reprends mots pour mots. Et au wouh de TOLENTINO, j’ajoute : ça secoue, (et bien sûr influencé par mon activité) attachez vos ceintures !

Très bon, intrigue bien entrelacée, et des personnages assez parfaits dans leurs rôles (si ce n’est un drôle de choix de prénoms à mon avis - et des dialogues un peu faibles, qui n’apportent pas forcément à l’intrigue). Mais on tourne les pages avec curiosité. Merci pour ce partage.

Émérite (et méritant) à n’en pas douter. La question, bien sûr, qui pend aux lèvres trop facilement, c’est peut-on – non écrire – mais lire un pastiche d’Audiard de Dard ou de Simenon ? à écrire, cela doit être très burlesque et je comprends que vous ayez eu envie de l’exhumer. A lire, on ne peut éviter la comparaison, chercher la petite bête, et of course, la trouver. Bref, tout ça pour dire, bravo, néanmoins, et merci car je me suis, ici ou là, payer une bonne tranche !

Excellent et pour moi, deux fois plutôt qu’une. Vous êtes très fort pour avoir reconstitué le Paris des années 60, il y des détails bluffants. Et cette géographie de la capitale, rue par rue, maison par maison avec un nombre de détails inimaginables… mis à part, votre intrigue est vraiment bien menée, ça n’arrête pas et vos personnages, itou. Bravo.