Chris Martelli
Présentation

A vélo, en ville ou à la campagne. Je roule et je lis toujours à fond et "sans dérapage".

Chris Martelli a noté ces livres

5
Vos nouvelles sont pleine de poésie. Elles sont délicieuses à lire, toutes de candeur, de douceur, de gentillesse. Elles disent des joies simples, de jeux de ricochets, de freesbee, de promenades avec le chien, que les grands aiment la compagnie des petits et que les petits aiment celle des grands. Vos nouvelles racontent une nature de cocagne. J’ai aimé vos chutes toujours inattendues.
Publié le 07 Décembre 2015
4
Beaux partages. Et le beau dans une nouvelle, c’en est son principe même : la chute. Et les votres viennent doucement, quelques lignes avant la fin, comme pour nous (r)assurer qu’on avait bien deviné. Ma préférée, « exécution ».
Publié le 29 Novembre 2015
5
Lu d’une traite cette nuit. Pas nécessaire d’être une grande amatrice de Sherlock (dont je suis une fan absolue) pour apprécier ce contre point proposé par ce cher Watson ! Une démonstration dont une des valeurs, c’est justement d’apporter cette analyse en contre perspective. Et le dénouement final, et la révélation sous la plume de Sherlock lui-même, est une apothéose qui me donne l’envie immédiate d’aller reprendre quelques unes des aventures de ce célèbre duo. Elémentaire cher Zamioune ! Permettez-moi néanmoins une question : votre titre est-il vraiment le meilleur pour donner l’envie de lire votre récit, moi qui ai été attiré par l’article que mbs a fait sur lui ? PS. Entre autres vérités confondantes, j’ai particulièrement apprécié cette phrase « la vérité ne doit son existence notionnelle que grâce à la possibilité du mensonge ». Bravo l'artiste !
Publié le 28 Novembre 2015
5
Qui ne rêverait d’avoir un tel mentor que ce Monsieur Malatesta (quel nom !), dont on ne sait pas au début s’il est l’amant de la mère ou juste l’ami cultivé, fortuné et désintéressé de la famille ? Belle fresque que celle que vous construisez autour de cet enfant, avec votre style qui coule comme une rivière, lentement, paisiblement, sans à coups. Et qui place au fil de l’eau des phrases de vieux philosophe… comme celle-ci « Il faut penser comme le serpent qui s'apprête à tenter Ève. Si tu es bon menteur, nulle ne saura te résister » ! Ou celle-ci « On peut parfaitement être édité à la Bibliothèque de la Pléiade après sa mort et avoir complètement raté sa vie. ». Ou encore « les hommes deviennent suffisants quand ils se marient. Ils pensent qu'ils ne perdront jamais ce qu'ils ont conquis, alors ils nous délaissent et se reposent sur nous. » Mais je m’arrête ici, je suis en train de copier coller votre livre !!
Publié le 03 Novembre 2015
4
Charmant, rafraichissant, revigorant ! A mettre dans les souliers du prochain 24 décembre
Publié le 28 Octobre 2015

Pages