Une histoire drôle, vulgaire (sans être obscène), philosophique (et romantique).
N.B: je suis moi-même sidéré d'avoir commis une telle bêtise (maligne), mais elle me fait franchement marrer. Donc, d'une certaine manière, on peut dire que c'est une réussite. Et je crois que c'en est une.
Ce livre est noté par
Beau compliment ! justifié, osons le dire, car il a fallu me battre contre mon style et tenir un rythme d'enfer en allant chercher la petite bête chez nos deux héros. Une vraie bagarre dans leur psyché ! avec des moyens frisant la relégation dans la catégorie "érotique" ou celle du "mauvais goût" (pas encore créée par mBS, mais dans l'imaginaire du lecteur, elle est bien présente). Alors oui, ce texte a des "cojones", et l'auteur a su poser les siennes sur sa table (quelle image :)
Merci beaucoup @poigjea
@JeanPignon2
Tout cela ne m'est pas inconnu bien sûr, mais je ne l'ai pas lu dans le texte, ce que je vais donc faire cet hiver, vous m'avez convaincu...
@Cortex4 Ahhh, vous avez la chance de ne pas connaître F. Drad, c'est une fameuse opportunité pour le découvrir à travers ses centaines de bouquins que j'ai dévorés. Il met en scène le personnage de San-Antonio, le commissaire parisien et surtout, surtout, son adjoint Alexandre-Benoît Bérurier, l'éléphantesque sagouin si attachant et perspicace dans sa libidineuse vie de policier mal embouché, mais si efficace. Un poème.
@JeanPignon2
Merci! et pourtant j'e n'ai jamais lu Frédéric Dard...
En effet, comme l'a justement fait remarquer un des commentateurs, Frédéric Dard, sort de ce corps ! Hé oui, ça a l'air cucu et concon, mais au fond, c'est plutôt bon.
Merci du partage.
@amo134
Une morale de vie à retenir, votre dernière phrase ! et qui illustre bien cette histoire.
Un grand merci pour votre commentaire. Pour être franc, je ne pense pas que cette histoire soit vulgaire et suis content que vous le pensiez aussi. Je l'ai présentée comme telle car je ne voulais pas que le lecteur se bloque à la première expression grossière. Prévenu, le lecteur accepterait plus facilement de continuer. Le choix de cette forme gouailleuse était vraiment un pari risqué, mais quel écran de fumée ! c'est pourquoi votre commentaire est une belle récompense, car vous avez su déceler que cette histoire de culs n'était qu'un prétexte, que derrière la comédie se jouait la tragédie...
@Lauren Back
Derrière ce vernis vulgaire se cache une grave crise existentielle de nos deux héros, mais chut... l'emballage est justement là pour la leur faire oublier... Merci de votre passage, et je suis entièrement d'accord avec votre commentaire !
Oui, on peut aussi trouver ça très très très vulgaire ! Ce qui est dommage, car une belle paire de fesses, un beau cul de gonzesse, et de mec aussi, ça peut aussi évoquer des images pas graveleuses. Mais c’est vrai que le côté beau a été merveilleusement déjà écrit par de grands écrivains.
@Louis Morot
Vous en parlez très bien! merci d'avoir laissé un commentaire...(ah si tous les lecteurs prenaient le temps d'un petit mot, ce serait bien sympathique:)
Bon au début je trouvais que cela tournait un peu en rond cette nouvelle, puis après je me suis pris au jeu et cela m'a fait marrer ces histoires de fesses, de derrières qui dodelinent de la raie, de jeunes qui s'astiquent le poireau ou qui ont les brunes bien remplis. Vous faites bien de parler naturellement et librement de ces choses de la vie qui sont pour nous les êtres humains de simples besoins naturels. Puis les femmes ont parfois des formes si craquantes avec des fesses arrondies, des fesses volumineuses en forme de poires ou de coeur, que c'est vraiment difficile de ne pas être attirer par cela et de ne pas céder à certaines tentations dans certains cas. Et nous ne parlerons même pas de la forme des seins et des hanches qui peuvent être aussi des attractions irrésistibles.