Colin Kaslan

Biographie

Parce que souvent les insomnies enfantent.
Parce que la nuit est propice à la vie.
Parce que les mots sont plus à l'aise écrits que pensés.

Colin Kaslan a noté ces livres

3
Jolie pirouette que de finir en rigolant cette nouvelle qui commençait de façon plutôt dramatique.
Publié le 28 Octobre 2015
1.8
Bonjour Heaven, Sans vouloir rentrer dans un débat sur la famille, mais ressentant la sensibilité de votre texte, on ne peut qu' éprouver un sentiment d'injustice en imaginant encore aujourd'hui incompatibles (dans certains pays, mais il me semble que pas les USA) une orientation individuelle et un projet de vie sain et naturel. C'est un joli texte, mais qui meriterait peut-être d'être approfondi. Le développement est assez confus, on ne comprend pas bien si Alec se découvre réelement suite à ses révélations extrêmement difficiles ou si il en a pris conscience et l'assume depuis longtemps. Les passages avec sa gouvernante sont assez longs alors que vraisemblablement la personne la plus importante pour lui est son père, peut-être pouvez vous developper cette partie, ou corriger autrement ces désequilibres. Le texte merite également une relecture attentionée, pour les nombreuses fautes d'orthographe et quelques mots oubliés (toutefois, mouillées, demandé, metallisée P4, desolé, dur, desolé P5 empilées, servi, ils avaient fait P6, sa, ça devait P7.......). J'éspère que vous ne prendrez pas mal ses quelques commentaires, ce ne sont que mon ressenti. Amicalement, Colin
Publié le 20 Octobre 2015
3
J'étais fier d'avoir deviné que vous parliez d'un stylo...et heureux de comprendre que j'étais tombé dans le panneau
Publié le 19 Octobre 2015
3
J'ai deux grandes soeurs, mais en aurait eu trois si Constance n'étaient pas morte des suites d'une infection des poumons avant ma naissance. Je ne l'ai donc jamais connue, mais peut-être un peu aujourd'hui, sous votre plume. Je suis de ceux qui ne croient pas aux coïcidences, tout a un sens. Merci.
Publié le 19 Octobre 2015
3
Ça va vite, très vite la vie d'un cadre crade. Il engloutit les miles, les pilules, les shots, les petites et surtout les biffetons, et de temps en temps il craque. Je ris souvent jaune en entendant les récits de burn-out, prise de conscience, revirement, rejet subit et autre volte face des cravates-BMW qui d'un coup d'un seul retouche sol après des années de jetlag lucratif, et j'ai toujours envie de leur balancer que c'est facile de cracher dans la soupe après avoir fini le plat et gerbé le trop plein. Cette impression me poursuit après la lecture de ce texte qui remplit, de fait, parfaitement son rôle. Bravo.
Publié le 19 Octobre 2015

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