Monique Louicellier

Biographie

Je remplirai ma biographie plus tard, quand j'aurai aussi ma date de décès...
Ah une chose cependant, si vous ne voulez pas hâter l'achèvement de ma bio, voilà : j'ai d'adorables chats de sauvetage, certains déjà depuis longtemps avec moi, qui ont besoin d'un humain très attentionné pour eux seuls.
Stérilisés, tatoués, deux femelles, un couple de mâles et un binôme fraternel.
Je les placerais en priorité en Bourgogne, entre Autun et Nevers...
NB : J'ai d'énormes dettes de lecture et je réponds avec du retard, pardonnez-moi...
NB bis : Naissance en 66, négligence familiale doublée de harcèlement scolaire, mise à la rue après mon bac, reprise d'études à Genève en travaillant à côté, hypersensible...

Monique Louicellier a noté ces livres

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@Axelle Rousselot J'adore ! Le sujet et votre écriture, mais je ne vais pas plus loin que les deux premières pages qui me donnent déjà un bel aperçu, sinon cela deviendra impossible d'arrêter, l'histoire, le style et le suspens étant captivants... Je reviendrai lire plus tard, n'hésitez pas à me le rappeler (j'adore lire et suis couverte de dettes comme la vôtre). J'approfondirai mon commentaire après lecture totale. Pas besoin de me noter en retour. Bises !
Publié le 02 Février 2023
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Idée géniale et très bon policier. Belle écriture habile ! (Accessoirement, dommage mais un raté dans votre grand talent pour nous faire peur, parce que là, j'ai rigolé, ça m'a fait une entracte, ah le sol pleureur, cet arbre avec les branches fines qui retombent et qu'on trouve près des sources ou des cours d'eau, eh bien cela s'écrit saule pleureur, normalement tout le monde sait cela, cela vient de salix en latin, aussi intéressant à savoir, vous pouvez consommer les feuilles de cet arbre crues, elles fondent dans la bouche, et vous sauveraient la vie en cas de fuite dans la nature sans rien à manger. De son écorce, on tira l'ancêtre de l'aspirine, l'acide acétylsalicylique, le même principe fût également extrait de la Reine des prés qui est de la famille géniale des Astéracées, détenant plein de propriétés intéressantes... Accessoirement encore, beaucoup de gens omettent actuellement l'emploi - que je croyais obligatoire - des subjonctifs, là où c'est nécessaire, et je ne comprends vraiment pas, car les phrases sont laides quand on y colle à la place un indicatif. Vous n'êtes pas le seul... Alors je ne comprends plus. La disparition du subjonctif pourrait-il vous inspirer votre prochain roman policier ?)
Publié le 31 Janvier 2023
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@Zoé Florent. Ouh la la, c'est bien plus chaud que je ne le croyais, chez Madame Zoé Florent ! Alors, l'impression d'un doux délire pour cette histoire de confrérie, et le sachant, j'ai lu tout d'un trait quand même, parce qu'il y a une trame psychologique fine et exquise, qui ne se contente pas de la surface, avec une très belle écriture enchanteresse, à l'aise dans les dialogues, avec une excellente idée pour le scénario, pourtant pas gagné d'avance et tu retombes bien sur tes pattes, tout se recoupe et s'explique. Ensuite ma parenthèse (qui va peser 3 tonnes, mais tant pis, je suis ignoble, je sais !!!) : Je ne me suis pas trouvée d'accord, pour moi-même, avec la sentence de Manuela sur le sexe/l'amour lesbien versus hétéro, même si je comprends le poids possible dans le concrêt de cette symbolique dont elle parle mais hé, c'est bien logique pour elle, puisque une bi, une hétéro ou une lesbienne n'auront pas les mêmes magies, credo, ressentis ou attractions bien évidemment, mais je rassure les lectrices, les lesbiennes ont acquis malgré tout l'héritage social contraire, malgré les douleurs et incertitudes que cela peut représenter, tout ce qu'il leur faut pour être heureuses, car l'amour et le désir, l'envie de construire aussi et de protéger l'autre, surtout chez cette minorité réprimée, sont plus forts que tout obstacle, les lesbiennes ont même leur propre symbolique qu'elles se créent sans doute légèrement différentes pour chacune, et elles peuvent être dans la complétude la plus totale avec leur amante (bon après, que cela se passe mal ou bien, comme pour n'importe quelle rencontre, cela dépend notamment des complexités psychologiques inhérentes aux personnes, que tu as bien décrites) !!! Il est intéressant de savoir que dans les pays réprimant le lesbianisme et les femmes aussi, les lesbiennes se construisent davantage en sorte de transsexuelles, sans pour autant changer de sexe, ah, la, la, je ne veux plus y réfléchir, j'ai plus l'age... NB : Quatre ou cinq petites coquilles...
Publié le 30 Janvier 2023
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@Jonathan Neels. Très belle et fine écriture, lieux et personnages biens campés, suspens impeccable et sans fausses notes, sujet très intéressant et accordé à l'air du temps ! Un gros extrait qui tient en haleine ! Alors, fantastique, bravo ! J'attends vraiment la suite avec impatience. Par contre, deux choses, primo, je pense que Yohann E T, qui vous a noté, c'est aussi vous et que vous savez donc aborder des histoires très différentes, les deux ou le même plutôt, belle écriture, originalité du sujet ET MEMES FAUTES D'ORTHOGRAPHE OU DE GRAMMAIRE !!! Deuxio, inconcevable que vous fassiez ou même laissiez ces fautes, au vu de la qualité du reste du texte, de votre culture, de votre belle et habile écriture... Tiens, tiens, seriez-vous un (ou une ?) écrivain reconnu, venu ici pour piéger la Monique en prenant du temps pour insérer des fautes dans vos extraits ??? Parce que franchement, si ce n'est pas le cas, je vais déposer la primauté de la découverte de votre espèce d'auteur au Muséum d'Histoire Naturelle. On vous nommera désormais Jonathan Neels Louicellierensis !!! Non, mais ! Pour votre punition, je vous mets ma correction (que j'ai dû lâcher en route quand même...) en message séparé, sinon je vais pourrir mes commentaires et j'espère, que dis-je, j'exige la résolution de cette énigme !
Publié le 27 Janvier 2023
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@Stog 2. Ah bravo, deux pouces, écriture à cru, authentique, c'est âpre, énergique, populo, intelligent aussi, le suspense prend aux tripes, âmes trop sensibles attention... L'histoire, qui ressemble pas mal au vécu de l'auteur, nous entraine donc dans une saga familiale et personnelle au milieu des terres d'élevage du Québec des années 70, on y entre par les sacrifices d'animaux auxquels les paysans ont toujours voué leurs efforts, fruits de leur fierté et de leurs espoirs de croissance, on y passe direct aux sacrifices des fermiers sur le temple de la spéculation, puis on entre dans les bars interdits aux femmes qui prodiguaient leur unique réconfort aux hommes modelés par la rudesse, on cotoie enfin le milieu estudiantin et révolté encore ouvert aux fils de cow-boys congédiés de leurs terres... On se croirait dans un road trip américain ou un western ! Erreur, c'est le Québec, Tabernak ! Juste les mots qui nous font sentir l'infusion solaire du voisin Yankee plus au sud... C'est social, anthropologique, c'est un rodéo, sur le dos de la bête à cornes ou sur celle estampillée Harley D... A déguster... Avec une poutine (c'est vegan !)
Publié le 26 Janvier 2023

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