Monique Louicellier

Biographie

Je remplirai ma biographie plus tard, quand j'aurai aussi ma date de décès...
Ah une chose cependant, si vous ne voulez pas hâter l'achèvement de ma bio, voilà : j'ai d'adorables chats de sauvetage, certains déjà depuis longtemps avec moi, qui ont besoin d'un humain très attentionné pour eux seuls.
Stérilisés, tatoués, deux femelles, un couple de mâles et un binôme fraternel.
Je les placerais en priorité en Bourgogne, entre Autun et Nevers...
NB : J'ai d'énormes dettes de lecture et je réponds avec du retard, pardonnez-moi...
NB bis : Naissance en 66, négligence familiale doublée de harcèlement scolaire, mise à la rue après mon bac, reprise d'études à Genève en travaillant à côté, hypersensible...

Monique Louicellier a noté ces livres

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@FANNY DUMONT. Ah, j'ai bien ri. Tiens, tiens, qui êtes-vous Fanny, qui se cache derrière vous ? Faîtes-vous partie d'un des deux gangs décrits dans la première nouvelle ? Je suis au tiers de ces enquêtes (je reviendrai, promis !) qui se suivent et se déchaînent en me plongeant sans mon consentement dans l'ambiance nonchalante des films policiers d'avant la libération dite de la femme, juste après la démocratisation du petit écran (heu, oui, je subissais pafois - bien obligée si je voulais terminer mon assiette - en famille, les policiers à la télé, mais n'en lisais jamais, car j'adore le fantastique et le thriller, mais pas du tout le policier, donc les feuilletons TV anciens sont justement mes seules références...). Ces enquêtes sont à priori contemporaines. Je vais prendre une loupe pour voir s'il n'y a pas quelques incohérences temporelles (j'ai par exemple remarqué le coup du restau pendant que Louise avait préparé à manger pour 3 jours, mais ce n'est pas une incohérence temporelle...). Ca rigole pas la critique. Je dois faire partie de l'autre gang !!! Ah, ah, ah... Cette désopilante Madame Poigret est d'une soumission à son homme toute indiquée pour servir de modèle à la ménagère de plus de 50 ans des années 50/60 aux fourneaux, qui va absorber les rares publicités de l'époque (que de la bonne marque, bon sang, c'était le bon temps !) entre les informations et les policiers qui s'ensuivront, et bien avant mon émission préférée : Les Dossiers de l'Ecran ! Heureusement la révolte femelle pointe son nez mais les enquêtes sont quand même menées sans peur avec de gros sabots par Mme Blanquette et les scénari sont tirés avec de grosses ficelles. Mais l'époque voulait cela je suppose. Je me suis demandé si cela ne partait pas un peu en délire (imaginaire insuffisament construit), en décollant pas mal du réaliste, ce qui normalement n'est pas dans le genre policier. Bon, pas grave, Fanny, ç'est une nouvelle cuisine, du boeuf-carottes revisité ! Excellentes nouvelles en tous cas, pour accompagner mon souper, moi qui ai maintenant plus de 50 ans, hélas. Surtout que, oh mais ça alors, mais voilà qui devient passionnant (si on veut, parce que la guéguerre sur le site me semble tellement débile...) !!! Madame Poigret ne dévoilerait-elle pas les entrailles secrêtes du site Mon BestSeller, dans ces escroqueries aux clics et délires de grandeur d'écrivains ? Fanny, vos policiers sont très bien, mais je suis devenue VG et fais une indigestion d'entrailles, de pot-au-feu, de boeuf-carottes, de sabots, de ficelles, de poule au pot et de coq au vin, auriez-vous par hasard aussi sous le coude une nouvelle cuisine policière totalement végétarienne, voire se réduisant au tea time, rituel anglais, avec des enquêtrices totalement émancipées (je sais j'en demande beaucoup...), cela me correspondrait mieux ???
Publié le 20 Février 2023
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@Nathalie Carnesse-Million. Très bonne nouvelle, je n'avais pas compris l'identité du gardien avant la dernière phrase !
Publié le 18 Février 2023
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@Nathalie Carnesse-Million. Ah oui, écriture qui change avec l'age de la petite fille. Bien fait pour la fin ! Dès le début, on se dit qu'il va y avoir un souci, ce ton désabusé sans doute...
Publié le 18 Février 2023
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@Carole Bergh J'ai remarqué votre commentaire sous une tribune conseillant les auteurs pour qu'ils réactivent leurs livres et curieuse, je suis venue lire le vôtre, je l'ai alors beaucoup aimé ou plutôt son extrait et je l'ai lu d'un trait. Votre écriture est habile, forte, le suspense entretenu, les personnages bien campés, le coté psychologique très prégnant. Je ne suis pas trop d'accord avec une personne vous ayant laissé un commentaire, car pour moi, planter le décor était très bien fait et presque reposant par rapport aux batailles et guêt-apens qui suivent, surtout que je sens qu'il s'agit d'une histoire assez longue. Beaucoup de morts de personnages importants du récit attristent un peu, mais on attend de meilleurs jours et on espère que cette histoire débouche sur un univers encore plus dense et moins sombre. J'aimerais bien savoir d'où viennent les noms des personnages et des villes ? Créations au hasard ? Avez-vous choisi le format A4 avec une petite police, plutôt que l'usuel A5 avec une police 13 (type Palatino) et des paragraphes plus aérés, parce que votre récit risquait d'être long ? Et est-il terminé ou encore en élaboration ? Je suis curieuse, je sais ^^...
Publié le 07 Février 2023
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@dora moor Très touchée par cette héroïne (vous), par votre droiture, votre énergie et votre courage, face aux tourneboulements et tortures variées qui vous sont hélas infligés. Touchée par votre hypersensibilité et par votre compréhension dès toute petite des souffrances cachées et de la belle personnalité de votre mère, hélas ensevelie sous la noirceur des mécanismes du narcissisme, qui se sont mis en place pour elle et dieu merci pas pour vous. Touchée par ce bel amour fou que vous avez pour elle, en dépit de la surface faussée, sans doute à jamais, de votre mère et de ses comportements de monstre comme à dessein, aux conséquences si cruelles... Elle fuit toute faiblesse et donc tout attachement, sauf celui qu'elle a ressenti sans doute fortement à votre égard, quand vous surviviez à ses coups, qui sont autant de répliques sismiques de ses propres souffrances. Ni l'empathie naturelle, ni la raison ne font partie d'elle, tout était brouillé dans sa conscience, puisqu'elle n'existait à ses yeux qu'en éternelle victime, dont les souffrances surpassaient forcément celles d'autrui, même celles de sa propre fille, même si les souffrances de sa fille étaient son oeuvre et même si elle les avaient provoquées tout exprès et les plus dures possibles. Elle sait mais elle ne ressent pas, c'est elle d'abord, c'est ainsi qu'elle a survécu à ses souffrances. Par contre elle ressentait sa qualité de maman dans le prolongement de ses aspirations, quand vous, petite guerrière, résistiez aux souffrances qu'elle vous infligeaient, qui n'étaient que le miroir de celles qu'elle croyait ressentir... Son coeur ne pouvait sans doute plus ressentir de l'empathie ni de la compassion et elle le savait sûrement dans son mental. Mais sans doute, elle vous aurait follement aimée, si elle avait évolué autrement, comme vous l'avez fait. Mais il aurait fallu qu'elle passe pour cela par des années, par des décennies d'une sensibilité, qu'elle n'avait pas acquise. Son mode de survie était narcissique. Pas de chance pour elle, ni pour vous... Heureuse que vous ayez pu survivre. Des thérapies des pathologies de l'attachement, de la personnalité, existent actuellement pour les narcissiques. Bravo aussi pour votre vraiment très belle écriture et pour votre mémoire fantastique. Votre biographie exutoire est magnifique et captivante tout du long, néanmoins, le coeur serré, je me suis arrêtée à la page 80 pour essayer de gérer mieux ma propre vie et mon sommeil. Je reviendrai car j'ai hâte de connaître le reste. Les deux pouces levés vers vous ! A bientôt ! Auf wiedersehen... Monique
Publié le 04 Février 2023

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