Lara a accepté de regarder la mer à côté de moi. Ça m’évite de devoir trop parler, les mots n’ont pas d’utilité quand on regarde la mer, il n’y a rien à dire. La mer par immensité donne le droit au silence.
Avec pudeur et sans intimité je pourrais dire que nous nous aimons, sans autre bruit que le vent de la falaise, depuis de nombreuses années ignorant le fait que sa fille, Géraldine, ne m’a jamais accepté, je crois.
Ce livre est noté par
@Kal Chitel
Bonjour Kal, merci pour votre commentaire, un des objectifs de ce que j'écris est de ramener à la lecture des ados playstationisés et à les entendre il faut être très efficace dans l'écriture, du moins dans un premier temps, faute de les perdre. c'est le triste constat que je recueille auprès des jeunes qui m'entourent. donc en effet je prone dans les nouvelles un style efficace ce qui n'empêche pas l'un ou l'autre exercice d'écriture comme débuter par la fin et changer de filtre ou de regard en cours de récit.
Au plaisir de lire vos textes ( j'aime! ) et commentaires
Bernard
@Anne Talfos
Merci Anne pour votre commentaire, en effet John a autant d'émotions que d'incapacité à les exprimer, c'est là son conflit intérieur, sa décision finale est un aveu ou un renoncement, c'est tout l'enjeu de cette petite histoire :)
a bientot
@P.Duroc merci pour votre commentaire , c'est un plaisir de vous faire plaisir :)
Phrases courtes. Efficace.
@Aline Denis
Merci pour votre gentil commentaire, je suis heureux que ça vous ait plu.
Vos commentaires sont encourageants.
Au plaisir de vous lire
@Marc Jaouen
Merci pour votre commentaire, en effet il y a autant d'émotion que John n'est pas capable d'exprimer, il fallait l'aider un peu :) .
En passant je suis fan des moines que vous décrivez et de leur ambiance.
Au plaisir de vous lire
merci pour ce beau texte plein d'émotions.
Bonne continuation sur le chemin de l'écriture
@Zoé Florent
Bonjour Michèle
Merci pour votre gentil commentaire, c'est encourageant et oui en effet de décalages il est toujours question .
J'ai respecté la couleur cette fois :) jusque dans la veste orange.
Au plaisir
Bernard