Léon Deslande

Léon Deslande a noté ces livres

2.01
Dommage que vous ne disiez pas dans votre synopsis un peu de votre premier chapitre. Car on croit feuilleter le journal d’un fêtard, et on se retrouve devant de belles pages d’amour d’un fils pour sa mère. Ou du second, ou du troisième, d’un autre genre, mais dont l’écriture accroche plus que juste, c’est l’histoire d’un mec qui se défonce le week end, bref, un aperçu plus proche du ton, du style… peut-être que vous en auriez vendu 100… !
Publié le 04 Octobre 2024
2.01
C’est minutieux, vous avancez masqué, rien n’est oublié, on a tous les éléments un à un (presque trop ?), on comprend bien ce principe d’enquête policière (d’ailleurs pourquoi ne l’inscrivez-vous pas en policier ?) où le lecteur est abreuvé d’informations, parfois volontairement superflues, et souvent comme des pièces de puzzle séparées qui vont être peu à peu jointées. On n’a pas envie de lâcher votre livre, bravo, bel ouvrage.
Publié le 21 Septembre 2024
0
Il y a des styles ampoulés avec des dialogues tellement écrits qu’ils sonnent pas vrais, vous c’est l’inverse, c’est le style mitraillette, tactac, aucun mot en trop (voire un ou deux en moins !). Mais on rentre dedans, on s’y fait très bien très vite, malgré un excès de dialogues à mon sens, on imagine parfaitement les situations. C’est l’autre talent de votre polar, en plus d’avoir cette gouaille. Un très bon polar du dimanche matin ! (Sir Collins et non Sire…)
Publié le 01 Septembre 2024
2.01
Le concept est un vieux fantasme et la manière dont vous l’abordez est simple, amusante. Chacun de vos protagonistes est parfaitement identifié et identifiable, les rôles sont établis, clairs. Cela donne des situations étonnantes parfois et des dialogues croustillants. Comme dirait je ne sais plus qui, l’important ce n’est pas l’aboutissement, c’est le chemin pour y arriver. Et votre récit bon enfant illustre assez bien cette citation je trouve.
Publié le 17 Août 2024
2.01
Très curieuse histoire, on n’est jamais vraiment à l’aise, il règne une espèce de tension permanente, et les flash back dans le temps y participent beaucoup. J’ai trouvé cependant qu’ici ou là, pour ce genre de récits où la réalité possible n’est jamais vraiment loin, que cela manquait parfois de précisions, par exemple quelle organisation, quelle ONG, quel personnage de tel état ou quel mécène, ce genre d’informations qui fait que l’on est pris sans pouvoir lâcher… Mais, bravo pour ce récit étrange et flippant.
Publié le 14 Juillet 2024

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