Une Lolita extravagante bouleverse la vie d'un jeune coursier idéaliste, l'innocente Hanka rêve du premier baiser dans son paisible shtetl où la mort rôde, Rebecca la new-yorkaise jure sur la tête de Billy que ce sera son dernier shoot, fuyant le choléra, Hawa quitte l'Éden de son village africain pour rejoindre Lampedusa avec ses trois enfants...
Onze portraits de femmes d'ici ou d'ailleurs.
Onze histoires d'amour fort, plus fort que la raison.
Onze parcours de vie chavirés, au dénouement inattendu.
Ce livre est noté par
@David Klein Tu m'as bien fait rire, putain d'enculé de taré ! Tu permets que je te traite de tous les noms ? Ca reste encore de la littérature, non ? Si j'avais été le seul à me tortorer ta misère mentale, me serait même pas venu à l'idée de te décapsuler ton dernier neurone, mais comme tu es un psychopathe en série, je me dois un peu de venger les autres de tes ordures. Parce que c'est pas des critiques ça, pauvre connard de mes deux soeurs, c'est un dégueulis d'aigreur qui te bouffe la vésicule biliaire depuis que tu collectionnes les faillites ! Bon, cher enculé de ta sale race, es-tu enfin prêt à te faire interner en HP, ou sinon, si tu te prends encore pour un homme, on va la jouer à qui a la plus grosse. Hein ? T'en as une grosse ou t'as un micropénis ? C'est simple, tu files ton tél ! On se donne rencard et je viens gentiment te rectifier ta sale tronche de merdaille à moindre frais ! Parce que t'as vraiment besoin d'une chirurgie esthétique, mec ! Je sais pas si tu mates des fois ta gueule le matin à jeun, mais elle n'inspire que le mépris ! Tu vois, trou du cul, ça c'est une critique !!!
@lamish Un grand merci pour ta lecture et ton commentaire, Lamish !
@Jeanne Bageau@Nelson M@Rosète@Agostini Francois-Xavier@Lucie Marchal@Alice Lewis@FANNY DUMOND@Gabrielle G.@Trisha E. Un grand merci à toutes et à tous pour votre lecture de Femmes et vos chaleureux commentaires.
@L. Moussard Bonjour Laurent ! L'Humanité n'est qu'au tout début du chemin qui mène à la spiritualité, néanmoins quelques êtres sont en passe de l'atteindre et tu en fais partie pour ta faculté à savoir si bien entrer en communion avec La Femme "porteuse" du monde, si fragile et si forte à la fois, pleine de doutes et de certitudes pour aller toujours de l'avant sans faiblir ni faillir, plurielle et unique au monde comme chacune des âmes qui nous entourent. De la bien belle ouvrage, cent fois remise sur le métier et qui ne t'appartient plus. Aussi, un grand merci à toi pour ton présent que j'ai eu grand plaisir à relire en ce qui concerne les textes que j'avais eu la primeur de lire (retravaillés encore et encore) et pour les inédits que j'ai découverts et dans lesquels je retrouve toujours l'écrivain qui fait sienne la phrase de Thucydide : "sans exercer sur soi une discipline constante dans son écriture, la mémoire le plus souvent s'effiloche et ne saurait prendre le lecteur aux tripes". Chacun de tes textes m'a émue, voire bouleversée pour certains. J'ajouterais que les ouvrages qui restent toujours en mémoire ont atteint le but qui est de rentrer en osmose avec l'auteur, en l'occurrence c'est le cas. Amicalement. Fanny
D'abord, il y a la Lolita, celle qui n'existe que dans les livres et pourtant il semblerait que vous l'ayez bien connue cette Jeanne Berto tant elle est vibrante et vraie, impudique, sensuelle et désarmante. Un brin de femme enfant de 16 ans qu'on aime et qu'on déteste mais qu'on aime surtout. Ensuite vient Hanka, la jeune fille naïve qui rêve du grand amour alors que la mort est partout autour d'elle et qu'elle ne la voit pas. Poignant récit que celui d'Hanka. Votre style est ici différent. Car si Jeanne Berto peut nous faire penser à la Betty de Djian, nous sommes avec Hanka dans un univers à la Schnitzler. Mais comment faites vous pour vous mettre ainsi dans la peau d'une toute jeune fille et nous depeindre ses émois avec autant de délicatesse ? C'est tout simplement magnifique. Il y a ensuite Rebecca, la junkie, Rebecca et ses tourments, ses démons. Le récit de son shoot est incroyable et je n'avais jamais rien lu de pareil. Et la fin, chut, quelle surprise mais je ne dévoilerai rien, aux lecteurs de découvrir ! Et puis, changement radical de ton encore une fois, nous sommes au Japon, l'écriture a changé, le rythme est tout autre, les couleurs, les noms, les odeurs, nous sommes ailleurs avec Madame Yakamoto qui prépare de divins sushis pour sa fille hospitalisée et qui ne mange presque plus rien. Là aussi, la fin est sublime. Il y a d'autres femmes encore puisqu'elles sont onze, toutes passionnantes et qui ont en commun d'être fortes, courageuses parfois blessées, abîmées par la vie, mais ce sont toutes des battantes. Et ce que j'aime aussi c'est que chaque nouvelle est un voyage émotionnel fort avec une fin parfois complètement inatendue. C'est sublimement bien écrit. Vous avez un grand talent. Je recommande vivement la lecture de Femmes. Vous en redemanderez !!
Je suis rentrée sur la pointe des pieds dans votre recueil, trouvant les premières lignes de votre nouvelle "100 raisons d'adorer et de haïr Jeanne Berto" un peu fort de café. Et puis au fil des pages, je me suis laissée happer par la force et l'énergie qui se dégageaient de cette longue énumération numérologique. C'est assurément un texte qui prend aux tripes (est-ce une histoire vécue ?). Passé ce moment de pudeur un peu chochotte, en fait j'ai adoré. C'est beau, implacable, tragique et drôle, l'idée de ces anecdotes qui s'enchaînent sans répit est excellente, le rythme est stressant à souhait et le mal-être des protagonistes, surtout de ce jeune homme trop tendre et généreux, est si palpable qu'on a envie de le prendre dans ses bras pour le consoler. Impressionnant ce sentiment d'amour-passion-déglinguée que vous faites passer. Puis, vient "La révérence", et c'est à se demander si c'est le même auteur qui a rédigé ce texte de toute beauté. Quelle émotion et quelle délicate légèreté à la fois ! Ici, point de sexe et de turpitudes sentimentales. Nous sommes dans l'amour pur. Nous sommes sur un air de Cantique des Cantiques, sur une odeur de candeur (si elle en a une), sur une couleur de contraste (la précision poétique des dialogues notamment), sur un tissu dont on croit connaître l'issue dès le mot "synagogue" mais qui subtilement renversé les attentes sans exclure le nécessaire (tout annonçait cette fin là, sublime en ce qu'elle desarconne sans tricher). Synesthésie de la simplicité les oxymores n'en sont plus sous vos mots, et quels mots. Passons enfin à Fatima et à ce long calvaire de vie qui se transforme subtilement en fantasmagorie spirituelle, en une ode à l'espoir pour toutes ces femmes humbles qui encaissent avec abnégation le joug des hommes, le poids des tâches ménagères, l'éducation de leurs enfants. C'est une histoire en forme de poupées russes, assez complexe dans sa narration, l'on s'y perd un peu, mais l'écriture est aussi douce qu'elle est haletante, et l'on retombe toujours sur ses pattes (de pigeons, oserais-je dire) lorsque vous prenez cette audace cocasse de faire parler ces volatiles honnis des grandes villes, lesquels seraient sous vos mots savoureux les messagers des anges des immigrés. Là encore quelle trouvaille et quelle imagination. J'arrête ici mes éloges. Tout ce que je peux encore dire c'est que les nouvelles suivantes sont du même tonneau, à savoir un régal sensoriel, jubilatoire, déroutant, poétique, poignant. On en ressort sonné, estomaqué, bouleversé, avec cette impression pourtant que chaque face noire d'un individu est capable d'enfanter sans secours sa propre lumière. Merci pour ce partage. Monsieur, vous avez vraiment l'art de transcender votre lectorat.
"Femmes" est le "Livre le +" du 24 août. Retrouvez l’article qui vous donnera envie de le lire : https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire-conseil/13516-femmes.... N'oubliez pas de laisser un commentaire à l'auteur, c’est pour cela qu’il a publié son roman gratuitement sur monBestSeller.
@Kroussar Un grand merci à vous, Monsieur Kroussar.