Mary COUSIN

Biographie

Cadette d’une famille rurale normande de 7 enfants, j’entre dans la vie active par le biais de l’enseignement. L’amour m’amène à tout quitter pour aller travailler aux côtés de mon conjoint restaurateur dans la région parisienne. À 50 ans, suite à une séparation douloureuse, j’ai éprouvé le besoin de revenir aux sources, retrouver mes racines et cette contrée normande au cœur de laquelle s’élève un atypique château, celui d’un mystérieux Seigneur de Carrouges ». Après des années de recherche, j’ai osé prendre la plume pour tenter de relater le destin fabuleux de ce chevalier, instigateur du "dernier duel" Judiciaire en France, évènement dont les acteurs Matt Damon et Ben Affleck ont tiré le scénario du film " The Last Duel" pour Ridley Scott. ( sortie prévue en octobre 2021)

Mary COUSIN a noté ces livres

5
Suite à votre court extrait, j’ai été obligée d’aller découvrir la suite sur Amazon. Une histoire riche en rebondissements et bien ficelée que celle de cette orpheline ballottée de famille d’accueil en famille d’accueil. A l’image de celui de Charlie, tous vos personnages sont bien campés et les émotions à fleurs de cœur. L'écriture est fluide, à la fois captivante et touchante. Votre façon d'aborder le sujet de la cause des femmes en général et des petites filles en particulier, pousse le lecteur à réfléchir sur la situation de certaines d’entre elle. Comme vous, je suis révoltée par la vie de femmes qui sont soumises à des interdictions phallocrates. Il n’y a rien de plus cher que la liberté de penser, d’agir et d’aimer d’où la nécessité d’acquérir son autonomie financière pour être indépendante d’un homme et j’en parle en connaissance de cause. Merci de votre partage et bravo. Tenu compte de la qualité de votre littérature, je serais ravie d’avoir votre commentaire sur mon ouvrage : " Manus Deï" l'amour à l'épreuve du duel »
Publié le 19 Septembre 2016
5
Comme je ne suis pas une fan de thriller, c’est la mordue d’histoire que vous avez comme aspiré d’emblée dans les pas de vos maquisards avec votre « Or des justes » Monsieur @Christian Feron, tant votre parfaite connaissance de cette époque héroïque de la Résistance dans le limousin vous permet de nous confectionner une intrigue menée de main de maître. Chacun de vos personnages est construit avec précision et vos dialogues en déterminent bien l’état d’esprit et contribuent à rendre ce récit passionnant. Bravo pour le petit cœur qui vient d'orner votre page MBS et tenu compte de la qualité de votre littérature, je serais ravie d’avoir votre commentaire sur mon ouvrage : " Manus Deï" l'amour à l'épreuve du duel »
Publié le 19 Septembre 2016
5
Suite à votre court extrait, j’ai été obligée d’aller découvrir la suite sur Amazon. Votre histoire est bien ficelée, riche en rebondissements et très bien documentées. Les personnages sont bien campés, les émotions décrites avec beaucoup de pertinence et d’obligeance. On y trouve de belles descriptions de notre beau pays, en outre de la Bretagne. L'écriture est fluide, perspicace, toute à la fois captivante et touchante. Votre façon d'aborder le sujet des harkis pousse le lecteur à réfléchir sur la recevabilité des motivations des uns et des autres, même si le résultat remet en compte les nôtres propres. Merci de votre partage et Bravo
Publié le 11 Septembre 2016
4
Le titre de votre récit m'a remis en mémoire ladite comptine enfantine : Ah ! Vous dirai-je, maman, Ce qui cause mon tourment. Papa veut que je raisonne, Comme une grande personne. Moi, je dis que les bonbons Valent mieux que la raison. C'est vrai que celle-ci nous replace un peu dans l’esprit de la première guerre qui débute votre chronique familiale captivante où se succèdent une cascade de portraits de femme au style de vie simple mais tellement riche que votre plume pleine de finesse et de discernement sait rendre émouvante, pleine de tendresse et d’amour. Et il faut bien se rendre à la raison: vous avez bien mérité vos bonbons! Bravo à vous. J'ai éteint une étoile pour le mise en page qui mériterait d'être peaufinée: texte justifié, retrait au retour à la ligne, chapitres bien détachés et titrés, et personnellement je crois que le récit aurait gagné en fluidité si vous aviez fait parler vos personnages par endroit. Cordialement.
Publié le 05 Septembre 2016
5
Passionnée d’histoire, votre livre m’a forcément interpelée. Même si la France de cette période du dix-huitième siècle, n’est pas ma tasse de thé. Votre histoire débute vers août 1715 : le roi Soleil se meurt. Son successeur et arrière-petit-fils, le futur Louis XV, n’a que cinq ans. Le duc Philippe d’Orléans, le duc du Maine et le roi d’Espagne se disputent bientôt une longue régence qui s’annonce difficile. Vu l’ambiance du livre, j’ai eu le sentiment de me retrouver dans le film de Bertrand Tavernier : « Que la fête commence » avec Philippe Noiret dans le rôle du régent et Jean Rochefort dans celui de l’abbé Dubois. Comme lui, vous portez un regard à la fois cynique, égrillard et dramatique sur la régence de Philippe d’Orléans... C’est avec votre jeune nobliau aux mœurs dépravées Charles de Volquies, aidé d'un garçon de mauvaise vie qui n'est autre que son amant, que vous nous faites entrer dans cette époque du pourrissement de l'Ancien régime. Contraint de participer, en tant qu’inspecteur de police sous les ordres du Commissaire Cruvelier, à la surveillance d’un suspect soupçonné de vouloir assassiner ledit duc d’Orléans, Charles outrepasse bientôt les limites de ses attributions et on va peu à peu découvrir l’ampleur du guêpier machiavélique dans lequel on l’a plongé. C’est avec brio que vous nous mettez sur la piste d’un tueur sanguinaire, proche des cercles du pouvoir et que l’on voit bientôt tous les témoins de son enquête, réduits, un à un, au silence.Comme vous savez manier le suspense à la perfection, on comprend vite que c’est la destinée de notre Charles qui se joue dans cette affaire qui est menée tambour battant. Comme vous savez manier le suspense à la perfection, on comprend vite que c’est la destinée de notre Charles qui se joue dans cette affaire qui est menée de main de maître. Bravo
Publié le 03 Septembre 2016

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