Inexistante

186 pages de D.Lizer
Inexistante D.Lizer
Synopsis

Béa n'est pas belle. Pas complètement moche, mais rien d'attirant dans son physique. Elle en souffre, beaucoup, à la folie. Au point de reporter son amertume, sa colère, contre tous ces beaux-gosses et ces filles canons qui lui gâchent la vie.
Erwan est enquêteur dans une agence d'assurance. Ténébreux, sarcastique, amoureux sans se l'avouer de la belle Sophie, comédienne en tournée.
Une histoire entre Rome et Rouen, entre humour et humeur, entre policier et romance.

Publié le 10 Février 2021

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7 commentaires
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@unpetit50
Bonsoir, en effet, un peu contradictoire ce commentaire, mais chacun exprime son opinion selon son ressenti. Le mieux est que les autres lecteurs intéressés se fassent leur propre idée...
En revanche, je ne saisis pas l'allusion au"come-back de l'actrice" (qui est plutôt comédienne de théâtre pour être précis).

Cordialement,
D. Lizer.

Publié le 03 Mars 2021

Je ne sais pas si le problème est que le sujet en soit un ou pas, mais quel qu’il soit, je trouve que votre récit se balade trop. Entre les personnages, les timing, les lieux, les flashbacks, les italiques, le principal et les multiples diversions… ça rend le fil confus je trouve. Mais comme dit l’autre, je dis ça je dis rien !! Le plus grave pour moi, c’est la ficelle un peu grosse, on la voit quand même venir de loin, à moins que l’actrice fasse un come back :)??? Cela dit, d'accord avec votre présentation, entre Rome et Rouen, entre humour et humeur, entre policier et romance, et si on rentre dans l'histoire, on se prend au jeu du rythme rapide qui se prend pas la tête. (contradictoire ce que je viens de dire, non ?)

Publié le 03 Mars 2021

@lamish
Bonjour Michèle, lire vos remarques est toujours riche d'enseignements, que ce soit sur la forme, ou sur le fond qui prête toujours à débats. Bien sûr, nombre de personnes sans attrait physique particulier sont très bien dans leur peau, et heureusement ! Et dans la plupart des cas, la personnalité prime sur les qualités esthétiques, j'en suis le premier satisfait ... Cependant, lorsque la souffrance prend le pas sur la raison, on obtient un personnage extrême, comme celui de Béa, qui m'inspirait plus pour l'écriture. J'ai essayé d'équilibrer ces deux pôles en donnant des arguments aux autres protagonistes dialoguant avec Béa, peut-être pas assez ? Je craignais d'être redondant et un peu trop moraliste. Un livre n'est jamais fini...
Merci pour le conseil du format A5, je vais modifier. Bien à vous,
Denis.

Publié le 17 Février 2021

@suzie fang
Correction pertinente. Un homme qui amalgame les chiens et les enfants ne peut pas en effet être tout à fait mauvais. Je m'étais fié à Desproges, qui préférait sans doute les chiens à ses contemporains : "Comme un teckel trop bas derrière une levrette affolante, je cours en haletant derrière la femme d'esprit." Mais comment faire confiance à un homme qui se défila face au premier crabe venu, nous laissant seuls à compter les minutes cyclopédiques.
ps : Merci pour les cinq étoiles, je crus, un instant fugace, de bon matin, que les augures seraient mauvais...

Publié le 11 Février 2021

@suzie fang
Bonjour Suzie, c'est Vincent Cespendes ! Bon, ça ne compte pas, j'ai triché en regardant sur google.
Je vais m'intéresser à ce philosophe, un homme qui a ce genre de réflexion ne peut pas être misogyne, tout comme "un homme qui n'aime pas les enfants ne peut pas être tout à fait mauvais". Vous avez 30 secondes aussi.
Denis.

Publié le 11 Février 2021

@Bruno Guennec
Bonsoir Bruno, rassurez-vous, je comprends bien qu'il n'y a rien de personnel dans votre avis, et au contraire je vous remercie de votre sincérité, c'est grâce à cela que l'on avance ! En effet, je conçois qu'il est difficile de lire une histoire dont le personnage principal n'emporte pas l'adhésion. Bien sûr, d'autres discriminations existent, celles que vous citez sont très importantes, mais j'ai trouvé que le manque de beauté, réel ou vécu comme tel du fait des déterminismes sociaux, transcendait les autres différences. Même riche, bien éduquée et dominante, une personne disgracieuse aura peut-être des difficultés à gérer cette "fragilité" potentielle. En tout cas, c'est l'objet du roman.
Si vous avez apprécié les relations "chien et chat" d'Erwan et Sophie, vous pouvez les retrouver (sans Béa !) dans mon livre précédent, "Sinistre", dans lequel ils font connaissance.
Bien à vous, Denis.

Publié le 10 Février 2021

J'ai mis en ligne 2 autres livres :

-"Dérangé" sous le nom de Denis Lizer

- "Sinistre" sous le nom de Lizer Denis

Ces 3 livres forment une suite chronologique, mais peuvent se lire séparément.

Publié le 10 Février 2021