Y A-T-IL UN PILOTE DANS MA VIE ?

@Zoé Florent MERCI !
« Gouleyant, un peu court en bouche »… j’aurais donc pu postuler chez Top-chef ?! Je prends cela comme un compliment, le signe que vous estimez avoir passé trop peu de temps en ma compagnie via cette lecture. Certains disent que je me livre trop, d’autres pas assez. Ma seule excuse est qu’il s’agit de mon premier livre, écrit dans l’urgence et sans l’aide de personne (peut-être ai-je eu tort). Je préfère en tout cas vous avoir laissée sur une impression de trop court, de soif incomplètement étanchée , plutôt que sur un ressenti d’ennui avéré. Je tacherai de faire plus et mieux la prochaine fois.

@Michel Abbou Voilà qui est gouleyant, en dépit de la gravité du sujet ; universel aussi... mais un peu court en bouche de mon point de vue.
Merci pour ce short partage et bonne journée,
Zoé (Michèle itou, dans la vraie vie ;-))

@R. Bérurier MERCI. C’est touchant de percevoir dans un commentaire que le lecteur a été sensible aux sentiments véhiculés en filigranes dans l’histoire qui est contée. L’attente de « la suite » prouve aussi que vous avez été réceptif aux retombées présagées dans la conclusion, pas seulement au niveau de ma petite histoire personnelle, mais surtout en ce qui concerne les conséquences mondiales d’un fléau qui n’a pas dit son dernier mot…

J'ai oublié le principal. J'attends bien sûr une suite qui s'annonce assez polémique au vu des dernières phrases. Et cela va certainement me plaire.

@Michel Abbou
Quel dommage de s'arrêter en page 10.
Oui, le changement de trajectoire est malheureusement souvent imposé. Je pense que le hasard n'existe pas. Il n'est que la conjonction d'évènements dont nous ne connaissons pas l'origine ou que nous avons oubliés. Et puis, un jour, on se retrouve avec le poids de savoir si les choix, les autres, ceux que nous avions toute liberté de prendre, ont été les bons, ceux-là mêmes qui, en partie, nous ont menés là.
Il n'est que devant le malheur ou à l'époque des bilans que l'on se pose ces questions qui finalement ne servent plus à rien et nous laissent sans réponse.
Mais finalement, les chemins que nous avons empruntés n'étaient-ils les bons à l'époque ? Car l'on oublie souvent le contexte au bénéfice de doute.
Vaste problème philosophique. En tous les cas bravo pour votre style.

Merci @MILADESJARDINS.
Les « 10% de la frange écologiste » ne sont mentionnés qu’à titre de statistiques factuelles… À l’instar de tout ce que je raconte dans mon livre qui n’est pas une auto-fiction mais le narratif d’un véritable épisode de vie aux couleurs tragi-comiques.

Cela donne envie de lire la suite même si je suis une des "dix pour cent de la frange écologique" (sourire). Je comprends votre ressenti en tant que patiente d'un hôpital il y a peu.