L'oiseau Bleu

Chère @Titejuly,

Merci du fond du cœur pour ce magnifique message, si sensible et profond. Votre retour me touche énormément.
Je garderai précieusement votre comparaison avec les pétales qui, une fois rassemblées, forment une composition florale : c’est une image d’une grande justesse et d’une grande poésie, qui résonne parfaitement avec l’intention qui a guidé mon écriture.

Vous avez parfaitement saisi l’essence de ce roman : une invitation à la lecture active, introspective, qui pousse doucement à se questionner, à ressentir, à laisser infuser. J’espère qu’il vous a offert autant de lumière et de douceur qu’il m’en a donné au fil de son écriture.

Encore merci d’avoir pris le temps de lire, de ressentir, et de partager si généreusement votre expérience.
Je vous souhaite une journée aussi belle que votre message.

Avec gratitude,
Floriane

Merci pour ce merveilleux voyage aussi lointain qu'interieur, parsemé de magnifiques métaphores. Chacune m'a transporté, m'a surprise de justesse tant j'en comprenais chacun des mots, des émotions. Comme un poème qui débute par des centaines de pétales parsemées,qui une fois rassemblées à la fin, forment une magnifique composition florale. Il ne s'agit pas d'une lecture passive comme dans la plupart des livres mais une lecture active. Qui demande de la réflexion, qui amène à s'imprégner de chaque mot et accepter ce qu'ils vont réveiller en nous. Je vous remercie pour cette fraîcheur et cette profondeur à travers ces lignes. J'ai aimé découvrir ces personnages authentiques et captivants. Il ne s'agit que d'un premier retour à chaud car je pense que ce roman mérite de faire son petit chemin intérieur en chacun de nous pour se révéler pleinement. Une très belle découverte.

Bonjour @Cécile Labate,

Un grand merci pour votre retour, que je trouve magnifique et très inspirant. Vos mots m’ont profondément touchée et m’encouragent sincèrement. Merci pour votre sensibilité, votre lecture fine, et cette si belle image de l’aquarelle, que je garderai précieusement.

Concernant la mise en page, j’avais fait ce choix en pensant au confort de lecture, mais vous avez raison : 600 pages peuvent effectivement impressionner ! (L’idée du format A5 est très pertinente.)

Pour répondre à votre question sur le diptyque : pour être honnête, rien n’était prémédité. L’écriture est pour moi un espace de lâcher-prise total, où je me laisse guider par les personnages, le rythme du récit, et ce qu’ils ont à dire. Avec le recul, je comprends mieux aujourd’hui pourquoi ce qu’Alicia traverse prend cette forme fluide, presque implicite — comme vous l’avez si justement perçu. Ces symboles, ces non-dits, nous forcent à nous poser la question : "Qu’est-ce que cela signifie pour moi, en tant que lecteur ou lectrice ?"

Je pense que certains thèmes évolueront ou trouveront leur prolongement dans mes prochains écrits. Comme si j’avais besoin de mûrir, de vivre de nouvelles expériences pour aller plus en profondeur.

Pour ce qui est du couple, il est vrai que ce thème est universel et très ordinaire (je ne veux pas trop spoiler), alors oui, rien de nouveau sous le soleil… Mais je pense que l’on peut s’identifier à ce qu’ils traversent. C’était là, à mes yeux, le plus important : créer cette routine sans tomber dans la caricature — comme vous l’avez justement relevé.

Merci encore d’avoir pris ce temps pour plonger dans mon univers, et pour votre regard si juste. C’est précieux.

Bien à vous,
Floriane