Dette Publique : Le Choix Démocratique du Désordre
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La dette française n'est pas une fatalité technique, mais une machine de transfert massive. C'est l'Anthropie en action : pour maintenir l'ordre financier, le chaos est déplacé vers les services publics, les générations futures et le climat.
Ce livre vulgarise cette mécanique invisible pour vous donner les outils de décision. Il montre comment la complexité technique et le langage managérial fabriquent le consentement.
Face aux quatre scénarios possibles , la question n'est pas de savoir s'il y aura du désordre, mais lequel accepterons-nous, et au nom de quoi ? L'heure n'est plus à l'ignorance. Le choix vous appartient.
Ce livre est noté par
Bonjour @Djamakebir Ali,
Merci pour votre intérêt et ce compliment sur la rédaction !
Ce document correspond en fait aux premières pages de mon livre Dette Publique : Qui paie vraiment ?, publié sur Amazon KDP. Les termes de mon contrat d'édition ne me permettent malheureusement pas de mettre l'ouvrage complet où même une partie en téléchargement libre.
Bonne nouvelle cependant : dans un de mes messages ci-dessous, vous trouverez 3 liens Kindle gratuits. Chaque lien est à usage unique (un seul compte Amazon peut l'utiliser).
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Bonne lecture, et n'hésitez pas si vous avez des questions !
Chaque année où l’État dépense plus qu’il ne gagne, la dette publique grossit : aujourd’hui comme demain, ses intérêts pèsent sur vos impôts et limitent nos services publics.
Moins l’État maîtrise sa dette, plus votre contribution fiscale sert à payer le passé plutôt qu’à investir dans notre avenir collectif.
Pourquoi ? Comment ? Toutes les explications dans ce livre : Dette publique : qui paie vraiment ?
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@alain.lamoliatte
Bonjour Alain,
Merci pour ce retour et pour le partage de votre parcours, qui force le respect. Je comprends parfaitement votre ressenti : quand on vit loin des métropoles ou que l'on compare avec le passé, la crise peut sembler abstraite.
Cependant, ce livre n'oppose pas des sentiments à d'autres sentiments, mais des faits comptables à des impressions. Vous parlez d'un sentiment de déliquescence ? Les chiffres montrent qu'il s'agit d'une soustraction réelle :
• La fermeture de 43 500 lits d'hospitalisation complète entre 2013 et 2023 n'est pas une impression : c'est un décompte officiel de la DREES.
• Le fait que les intérêts de la dette (66 milliards d’euros) dépassent désormais le budget cumulé de la Justice, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche n’est pas une opinion : c’est une arithmétique budgétaire implacable.
Vous dites qu'on attend "tout de l'État". L'analyse du livre démontre l'inverse : les Français paient toujours autant d'impôts, mais cet argent est massivement détourné pour servir la rente (la dette) plutôt que le service public (l'hôpital). C'est ce que je nomme le transfert anthropique.
Quant aux années 60/70, vous avez raison : ça marchait. Mais le livre explique pourquoi la mécanique s'est inversée. À l'époque, la dette finançait l'investissement et fondait grâce à la croissance. Aujourd'hui, elle finance le fonctionnement et s'auto-alimente, transférant la facture sur les générations futures (comme votre fils) et dégradant les soins actuels.
Votre exemple allemand illustre un choix de société différent. En France, le problème est que nous payons pour un service de proximité... que l'on ferme pour "rassurer les marchés" et payer les créanciers. La dette ne se paie pas avec des sentiments, Alain, elle se paie avec nos impôts qui ne reviennent plus vers nous.
Si vous allez au bout de l'ouvrage, vous verrez qu'il n'est ni décliniste ni idéologique. Il dissèque une mécanique dysfonctionnelle et pose cette question qui nous concerne tous, quelle que soit notre origine sociale ou nos idées : à quel moment précis avons-nous voté pour ce résultat ?
Une fois cette mécanique comprise, il appartient à chacun de se faire son opinion. N’hésitez pas à partager les liens de téléchargement : cette démarche est citoyenne, car ce sujet détermine l'avenir de 100 % de la population, alors qu'il reste méconnu de 99 % d’entre nous.
Cordialement,
Stéphane