Oeuvres et pompes de Jocelyne Bigarreau

@Sansberro
Désolée, c'est mon mien vélo ; je l'ai même porté sur les fonts baptismaux. Et mon vélo, c'est comme mes fesses, je ne les prête jamais au premier venu.

Non mais dîtes donc, rendez moi mon vélo!

@Iris Magre
Merci beaucoup pour votre commentaire. Je vais m'en servir pour réhausser l'éclat de mes yeux.

@Jézabel Foutredieu Pastiche virtuose, doté d'une construction littéraire complète et brillante, votre "Jocelyne Bigarreau" est destiné à rester dans les mémoire. L'ironie mordante, unie à une exagération qui frôle l'absurde mais demeure toujours crédible, emporte tout sur son passage, jusques et y compris le lecteur qui en redemande. Une vraie réussite !

@Coralie 933
Chère Rosemary, sache que ce n'est pas en me flattant que tu obtiendras de moi plus de caresses. De toute façon, il suffit que tu apparaisses dans toute ta canadienne vénusté pour que me torpille l'envie de te caramboler. Aussi, ne te fatigue pas à m'expédier des messages destinés à m'attendrir sur ton joli compte. Pointe-toi seulement devant notre porte, et ta libido n'aura plus assez de doigts pour compter les points...

En as-tu encore beaucoup comme ça, dans ta cave ou dans ton grenier ? En tout cas, c'est une excellente idée de leur faire prendre l'air ! Ce texte-ci m'a bien fait rire par son absurdité contrôlée et son défilé de personnages inoubliables. C'est véritablement un petit bijou d'humour et d'intelligence. Et bravo à Maxine et Muriel pour leur collaboration.

@Aurélie Past
Ne le répétez à personne, mais je me shoote aux racines de rocambole. Et merci pour votre gentil message.

@Jézabel Foutredieu Débridée, je crois que c'est le meilleur mot pour qualifier votre créativité. "Mais où va-t-elle chercher tout ça ???" doivent se demander vos lecteurs. Bref, je suis totalement conquise par ce texte que je découvre, où tout s'enchaîne avec une logique folle qui finit par créer un univers cohérent dans son délire. Du grand art !

Tu rigoles, ma chérie, mais, les ayant relus, je trouve, sans blague, qu'un ou deux de ces pohèmes ne sont pas totalement de la crotte de rat.