Le style de votre ouvrage est assez pauvre : le silence est troublé, les marches sont grimpées quatre à quatre, je n'allongerai pas la liste des clichés.
Mais ce qui me gêne le plus ce sont les innombrables fautes d'orthographe et de grammaire. On écrit « la volée de marches » plutôt que « la volée de marche », une volée comprenant toujours plusieurs marches, « cinq mille » et non « cinq milles », mille étant invariable, « essuie-glaces » ou « essuie-glace » mais certainement pas « essuies glace », vous confondez les formes verbales avec « découvrir Michel assit » au lieu de « découvrir Michel assis », oubli de négation, on écrira « nous n’étions que toutes les deux » plutôt que « nous étions que toutes les deux ».
Vous noterez que j'ai pris la peine de relever les principales sur les 8 premières pages mais il y en a des centaines. Dès la première ligne vous écrivez « janvier » avec une majuscule, ce qui est évidemment fautif. Par ailleurs, votre usage de la virgule est assez erratique. on ne met jamais une seule virgule entre le sujet et le verbe ou entre le verbe et le complément d’objet direct (exemple : « Le fracas causé recouvre l’espace d’un instant, le bruit régulier de la pluie...).
Ceci pour la forme. Pour le fond, si l'on dépasse les fautes d'orthographe, les fautes de style et les clichés, l'intrigue est assez bien menée, même si cela aurait plutôt dû plutôt faire l'objet d'une nouvelle que d'un pavé de 340 pages, que j'ai parfois survolé, je dois le reconnaître, tant tout cela est verbeux...
Publié le 30 Décembre 2020