Mary COUSIN

Une histoire incroyable et indémêlable celle de Justin Planchard, 43 ans, médiocre bureaucrate sans ambition, qui finit par être licencié, insociable, maladif et introverti. Sa maladresse notoire l’amène à se casser une jambe en chutant pour récupérer son appareil photo avant d’être récupéré par Cyprien, un berger qui le guérit à l’aide d’une infusion issue d’une pousse d’arbre merveilleux qui va totalement changer sa vie. Impossible d’en dire plus sans rompre le charme de ce roman incroyable où le lecteur se fait piéger par la virtuosité de l’auteur à porter l’intrigue à son paroxysme jusqu’à la fin tout aussi surprenante qu’inattendue. Bravo

Avec cette femme qui a été abandonnée par les pères de ses enfants dont elle va tenter de tirer sa force pour avancer, mais accablée par l’image que lui renvoie la société, elle s’enfonce dans une solitude extrême, une négation d'elle-même extrême et finit par craquer et commettre l'irréparable. Tel un spéléologue, vous nous plongez sous la surface trouble de la solitude humaine pour explorer, au hasard des épreuves qu’elle a subies, ... cette descente aux enfers et les dédales des sentiments d'aliénation qui l’y ont conduit. Par la finesse de la perception de tous ces sentiments et la qualité de l’écriture, vous nous embarquez dans un récit qui bouscule et qui heurte !

Cet extrait de « Délire... Ou le récit d'une femme éperdue », c’est de l’émotion féminine pure. Sans jamais être un récit fleur bleue, ni à l’eau de rose, c’est un délice pour les sens, versée sur la page blanche par une plume à fleurs de peau qui effleure le cœur et affleure le rêve, fantasmagorie de l’inconscient, pour explorer ces images mentales aux frontières de l'imaginaire amoureux que vos mots savent si bien reproduire. Ce récit révèle cette capacité qu’a la femme en souffrance de s’inventer un univers purement imaginaire où la raison vacille et se perd pour trouver réconfort en accordant une foi totale dans l’Être tout aimé en niant totalement celui, tyrannique, brutal et infidèle qui l’a abandonné. Je suis tombée sous le charme des mots de Stella, que j’aurais rêvé rencontrer à une certaine période de ma vie, pour apprendre à désaimer suffisamment tôt pour ne pas se perdre. Où trouve-t-on la suite de votre récit ? Bravo et merci à vous, d'avoir ajouté mon livre " Manus Deï" à votre bibliothèque. J'attends votre commentaire avec impatience, espérant que vous apprécierez marcher dans les pas de mon valeureux chevalier!

Une histoire romanesque qui se lit toute seule. C'est une belle plongée pleine de rebondissements dans la vie d’une femme d’aujourd’hui, sur fond de paysage ardennais. C’est frais, simple et enlevé comme cette jeune prof moderne tout en restant fleur bleue et un peu girouette en amour, addict du portable qui cherche le grand amour : On badine, on gémit, on se lamente, on va au stade, on attente des mails, on espère avec Lucie jusqu'à la dernière ligne. Bravo

Queue du bonne heure, en paire respective! C'est tiré, parlé, je veux! Mais pour un cas, mi case "démo" comme en do tel que votre Universal Soldier, cet home idéal, ce vent d'âme qui souffle et se démène dans le combat ultime contre les "Chiottes" et se solde par une chasse eau trésor, ceux de la langue française. Chapeau bas et merci d'avoir ajouté "Manus DeÏ" à votre bibliothèque , j'attends vos commentaires avec impatience . Bravo