Par une approche pointilliste, vous arrivez à camper ces deux personnages de manière à la fois réaliste et psychologique. On sent une certaine épaisseur et densité de ces deux héros. Et le décor de la fin de la guerre sent le réalisme à la fois libéré du joug de la guerre et de la retenue, l'aspiration désespérée vers l'amour et le désabusement de lendemains incertains.
Publié le 18 Avril 2016