Une fiction sur la guerre d'Algérie vécue par un instituteur du contingent. Son service, passé dans un petit village de Kabylie de juillet 1959 à Juillet 1961, laissera des traces indélébiles sur sa vie en France, jusqu'à sa mort.
@Paula Pons Bonjour, votre commentaire me touche car il rejoint celui d'amis qui étaient "pieds noirs" à l'époque de leur adolescence et qui ont retrouvé dans mon récit la "candeur" et la "bienveillance " que vous évoquez. L'une d'elle a trouvé étrange de presque se revoir dans les paysages qu'elle avait connus dans son enfance. Et un autre s'est revu jouer au football dans la cour de l'école. Et pourtant, de ma part, il ne s'agissait que de faits imaginaires, bien sûr basés sur une vérité historique pour les évènements. Merci pour votre lecture.
Au-delà de l’histoire du roman, qui bien sûr s’entrecroise avec les événements, il y a souvent une espèce de candeur dans ces récits qui se passent dans l’Algérie de cette époque-là. C’est dû en grande part aux personnes, il y avait de la bienveillance, à la manière de vivre, plus lente, à la mixité comme on dit maintenant, à la terre. On ressent cela dans votre beau roman dans lequel je me suis évadée.
Publié le 21 Juin 2023
Gérard J.M
Biographie
Gérard J.M Un parcours très varié : Maître-Nageur-Sauveteur, moniteur de ski France et USA, puis professeur d’espagnol au Colorado. La plus...
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@Paula Pons Bonjour, votre commentaire me touche car il rejoint celui d'amis qui étaient "pieds noirs" à l'époque de leur adolescence et qui ont retrouvé dans mon récit la "candeur" et la "bienveillance " que vous évoquez. L'une d'elle a trouvé étrange de presque se revoir dans les paysages qu'elle avait connus dans son enfance. Et un autre s'est revu jouer au football dans la cour de l'école. Et pourtant, de ma part, il ne s'agissait que de faits imaginaires, bien sûr basés sur une vérité historique pour les évènements. Merci pour votre lecture.