Ce livre (34 pages) contient les deux préambules d’un autre livre : « L’univers expliqué » ou « La folie raisonnée », tels qu’ils sont rédigés dans cet autre livre (plus de 400 pages).
La description contenue dans ces deux préambules est une explication complète et résumée de ce qu’est l’univers, de son fonctionnement et de ce que nous sommes dans ce fonctionnement (1er préambule, 15 pages), de la réponse à la question : « Pourquoi l’univers existe-t-il ? » (1er préambule, 7 pages), de ce que permet de savoir cette explication concernant les récits de nos ancêtres (2ème préambule, 8 pages) et de ce que nous sommes en tant qu’êtres humains par rapport à l’humanité (2ème préambule, 3 pages). Le 2ème préambule sans la compréhension du 1er préambule apparaîtra comme complètement délirant.
Ce livre est noté par
@Boris CHOMARD
Merci pour votre commentaire fort détaillé. Je le lirai attentivement à mon retour.
Prenez votre temps, qu'en aucun cas je ne voudrais bousculer.
Toutefois, veillez à ne pas trop entreprendre à la fois.
Bien à vous, Steve
@Steve WALK
Tout d’abord, je vous remercie pour l’intérêt que vous portez à mon travail.
Je vais essayer de répondre point par point à vos interrogations.
Le livre de plus de 400 pages n’est pas encore publié. Il est écrit mais je dois encore faire quelques relectures finales, préciser certaines choses et faire une modification importante. Je l’ai pour le moment mis sur le côté, n’ayant pas jusqu’à ce jour reçu de demande de la part des lecteurs du résumé publié. Je suis sur l’écriture de 3 nouveaux livres sur le fonctionnement de l’être humain. Je vais donc essayer de me motiver pour le finir afin que vous puissiez y avoir accès assez rapidement. Si vous le voulez, je peux même vous envoyer le manuscrit avant ces relectures finales.
Il ne s’agit pas de réflexions par rapport aux écrits d’autres personnes, je n’ai pas procédé de cette façon. Il s’agit de déductions faites par rapport à ma propre façon de percevoir les choses qui, à mon grand étonnement, est très différente tout en étant parfaitement cohérente avec celle des autres. Une fois cela mis par écrit, j’ai dans un premier temps demandé à l’un de mes proches très cultivé et très intéressé par ces sujets de valider la logique ainsi que la cohérence de mon explication (il a lu plusieurs fois le livre de plus de 400 pages) afin de vérifier que je n’étais pas en plein délire. Ce qu’il a fait. D’ailleurs, pour lui, la mécanique que je décris est bien celle de l’univers. Puis j’ai étudié plein d’explications données par les autres (scientifiques, religieuses, philosophiques, etc.) afin de vérifier la cohérence de mon explication avec les autres (ce que je continue à faire). Je n’ai pour le moment trouvé aucune incohérence et, bien au contraire, je perçois clairement la mécanique que je décris dans toutes ces explications. Je ne fais donc référence dans mon travail à presque personne.
Pour ce qui de la complexité de la langue utilisée dans mon livre, je prends note de votre remarque pertinente même si je vous avoue que pour le moment je ne sais pas comment faire plus simple tout en restant aussi précis dans ce que je veux expliquer. Mon objectif était déjà de faire le plus simple possible dans ce livre de 34 pages, j’ai à l’évidence échoué. La langue utilisée dans le livre de plus de 400 pages risque de vous paraître encore plus complexe à certains endroits car je vais beaucoup plus loin dans le détail des explications …
Avant de vous répondre en ce qui concerne les particules, je voudrais revenir sur la conscience. La conscience est définie de plusieurs façons selon différents points de vue. C’est pour cette raison que dans mon travail, je définis précisément la conscience. Dans mon livre, la conscience est uniquement le fait de percevoir et absolument rien d’autre. Ce n’est même pas ce qui perçoit car ce qui perçoit est la conscience de la conscience, le fait de percevoir le fait de percevoir. Par exemple, pour le vivant, on est dans la conscience de la conscience. Dans mon explication, on est juste dans la conscience, dans le fait de percevoir (percevoir et/ou être perçu), pour tout ce qui est et tout ce qui existe dans l’univers.
Pour ce qui est du fait que la physique quantique ne s’applique qu’à un nombre limité de particules et de particules composées de particules, les plus petites, vous avez parfaitement raison si l’on oppose la physique quantique et la physique « normale ». Cela est dû au fait que pour la physique quantique, les particules qui la concernent sont des ondes en l’absence d’observateur et des particules lorsqu’il y a un observateur, alors que pour la physique « normale », les particules sont seulement des particules. Dans l’expérience de la double fente de la physique quantique, l’observateur est le détecteur qui détecte (observe) le passage de chaque particule par une fente ou l’autre. En l’absence de ce détecteur (observateur), chaque particule se comporte comme une onde et lorsque ce détecteur (observateur) est présent, chaque particule se comporte selon les règles de la physique « normale », comme une particule, à partir de l’instant où elle est détectée par le détecteur. Cela n’est évidemment possible que pour les particules que l’on ne peut pas percevoir directement mais seulement avec un appareil dont on interprète les résultats durant une expérimentation scientifique donc pour les plus petites particules. Plus les particules peuvent être perçues « directement » par nous, plus il y a des observateurs en permanence, plus les particules observées se comportent selon les règles de la physique « normale » comme dans l’expérience de la double fente donc selon les règles de la physique quantique lorsqu’il y a un observateur (détecteur). La physique « normale » est la physique quantique lorsqu’il y a un observateur. Toutes les particules et les particules composées de particules sont une onde en l’absence d’observateur et une particule lorsqu’il y a un observateur. Pour l’être humain, à son niveau de perception, il y a toujours un observateur. De plus, si toutes les plus petites particules sont des ondes en l’absence d’observateur et des particules lorsqu’il y a un observateur alors toutes les particules composées de ces particules sont des ondes en l’absence d’observateur et des particules lorsqu’il y a un observateur. Il en est de même pour les particules composées de ces particules et ainsi de suite, et donc de l’univers composé de l’infinité de ces particules.
Pour ce qui est des particules différentes que vous citez qui seraient classées selon 3 niveaux différents dans mon livre, nous ne parlons pas de la même chose. Toutes les particules quelles qu’elles soient sont chacune ces 3 niveaux qui sont des niveaux différents de perception, de conscience, de toutes les particules de l’univers. Il s’agit de la description d’une mécanique commune à toutes les particules et non pas de la description de la forme différente qu’elles prennent dans notre réalité matérielle perçue par nous en tant qu’êtres humains. Le premier niveau, pour le dire autrement que dans le livre, est juste le fait de percevoir (la conscience). C’est uniquement la perception de ce qu’est « réellement » l’univers sans la perception, la conscience, de cette perception. Le deuxième niveau, c’est la perception, la conscience, de percevoir l’univers, c’est la perception d’être, sans la perception de ce qui compose ce que l’on est. Le troisième niveau, c’est la perception, la conscience, de ce qui compose ce que l’on est et de ce qui compose ce que l’on est dans ce qui compose l’univers, c’est la perception d’exister due au fait qu’il y a toujours au moins un instant entre ce que l’on perçoit et l’instant où on le perçoit (y compris ce qui compose ce que l’on est). C’est ces différents niveaux qui permettent de décrire ce qu’est l’univers et son fonctionnement. Nous les êtres humains sommes une parmi l’infinité des formes que peut prendre ce fonctionnement.
Pour ce qui est du passé, du présent et du futur, du temps, il existe. Mais il est une mécanique qui permet la perception d’une réalité matérielle, il n’a de réalité qu’au sein de la conscience, du fait de percevoir. D’ailleurs, le passé et le futur sont la même chose de nature différente. On se perçoit comme allant vers le futur alors qu’en réalité on va toujours vers le passé comme on peut le constater lorsque l’on va dans le détail du fonctionnement de l’univers (livre de plus de 400 pages). D’ailleurs, ce que l’on perçoit est toujours passé par rapport à l’instant où on le perçoit, plus ou moins selon la distance entre nous et ce que l’on perçoit (une planète à 1000 années-lumière est la planète telle qu’elle était il y a 1000 ans). Lorsque l’on se dirige vers ce que l’on perçoit, lorsque l’on entre en mouvement, on se perçoit aller vers le futur, le futur de ce que l’on est, alors qu’en réalité on se dirige vers le passé, vers ce que l’on perçoit qui est passé par rapport à l’instant où on le perçoit. Lorsque l’on se rapproche de ce que l’on perçoit, ce que l’on perçoit est de moins en moins passé par rapport à l’instant où on le perçoit vu que la distance diminue, mais cela reste le passé de ce que l’on perçoit même lorsqu’on l’atteint. La perception d’aller vers le futur alors que l’on va toujours vers le passé viens du fait que si ce que l’on perçoit (y compris notre corps matériel) est toujours passé par rapport à l’instant où on le perçoit alors on est toujours dans le futur par rapport à ce que l’on perçoit. Donc lorsque l’on est en mouvement, on se perçoit comme toujours futur par rapport à ce que l’on perçoit qui est en réalité toujours passé par rapport à nous.
Le temps n’existe pas en tant que tel au niveau de l’univers, il n’existe que dans le fait de percevoir (la conscience). Il est créé en tant que l’instant présent au 2ème niveau de particule, la perception d’être, la conscience de la conscience, le fait de percevoir le fait de percevoir. Il est perçu en tant que passé et futur au 3ème niveau de particule, la perception d’exister. D’ailleurs, l’espace n’existe pas non plus en tant que tel, il est une perception différente du temps, la perception de la différence d’instant présent entre les particules que l’on perçoit et nous dans un présent commun où l’on ne peut jamais percevoir ce qu’elles sont dans leurs instants présents respectifs (dans ce présent commun) mais seulement ce qu’elles étaient dans un instant présent passé. Donc l’espace est la perception d’une différence d’instant présent entre elles et nous. Donc une perception différente du temps (durée/distance). Tout le fonctionnement est expliqué de façon résumée dans le livre de 34 pages et en détail dans le livre de plus de 400 pages.
Pour ce qui est de parler de conscience pour le non vivant. Il est évident que l’on ne peut pas dire qu’un caillou, par exemple, est doué de conscience telle que vous l’entendez, qu’il est un être émotionnel ou quoi que ce soit de semblable au vivant dans notre réalité matérielle perçue. Ce que j’explique, c’est que toutes les particules de l’univers quelles qu’elles soient (les êtres humains et les cailloux compris) sont des particules de 3ème niveau, qu’elles se perçoivent être (particules de 2ème niveau), qu’elles perçoivent ce qui les compose et perçoivent ce qui les compose dans les autres particules de l’univers. Cette perception est leur perception de leur propre réalité matérielle.
Cela fonctionne de la façon suivante, en simplifiant, si l’on prend en exemple les êtres humains :
Nous les êtres humains nous percevons être, nous nous percevons être un corps matériel composé de particules composées de particules (les plus petites) que l’on perçoit comme matérielles et d’un corps « immatériel » (émotions, sentiment, ego, âme, etc.) composé de particules composées de particules que l’on perçoit comme immatérielles. Seule une infime partie de l’infinité des particules de l’univers sont perçues comme matérielles ou immatérielles par nous, les autres sont non perçues. Nous percevons les particules que l’on perçoit comme matérielles et immatérielles dans le corps (matériel et immatériel) que se perçoivent être toutes les autres particules de l’univers. Plus nous avons de particules (matérielles et immatérielles) perçues en commun avec une autre particule plus on la perçoit comme semblable à nous, consciente et capable de mouvement par elle-même (le vivant). Par exemple, les animaux plus que les plantes. Plus nous avons de particules (matérielles et immatérielles) perçues en commun avec une autre particule plus nous avons une réalité matérielle perçue commune et plus les interactions entre nos réalités matérielles perçues sont possibles et importantes. Un chien perçoit des particules que nous percevons comme immatérielles comme matérielles, une partie de celles des odeurs par exemple, ils perçoivent une réalité matérielle un peu différente de celle que l’on perçoit. Pour le non vivant, si l’on reprend l’exemple du caillou, on ne perçoit dans notre réalité matérielle perçue qu’une petite partie des particules (matérielles et immatérielles) qui composent ce que se perçoit être ce qui nous apparaît comme un caillou dans notre réalité matérielle dans sa propre réalité matérielle perçue. Nos réalités matérielles perçues ne sont pas communes, nous sommes chacun un élément non vivant (non semblable) dans la réalité matérielle perçue de l’autre. Nous percevons le caillou comme non conscient et non capable de mouvement dans notre réalité matérielle perçue alors que dans la sienne il est quelque chose qui se perçoit comme conscient et capable de mouvement car les particules perçues comme matérielles le composant dans notre réalité matérielle perçue sont des particules qu’il perçoit comme composant son corps « immatériel » donc qu’il perçoit comme immatérielles dans sa réalité matérielle perçue. Comme le mouvement se fait dans l’espace, uniquement dans la perception du matériel, et que l’on ne perçoit aucune particule du corps matériel qu’il se perçoit être, on le perçoit comme non capable de mouvement par lui-même. De la même façon, les particules communes perçues comme matérielles par nous composant le caillou étant perçues comme immatérielles par lui, nous sommes dans sa réalité matérielle quelque chose d’immatériel comme par exemple, l’électricité, le vent, ou quoi que ce soit d’autre du même ordre dans sa réalité matérielle perçue.
Les particules avec lesquelles nous n’avons pas de particules perçues communes, ne nous perçoivent pas, nous ne les percevons pas, nos réalités matérielles n’ont rien en commun et il n’y a aucune interaction possible.
Il y a une infinité de réalités matérielles perçues différentes dans l’univers, autant qu’il y a de particules différentes. Ces réalités matérielles perçues différentes étant perçues comme réelles de par le nombre de particules perçues comme matérielles et immatérielles communes et de par les interactions que cela implique.
Bien entendu, tout ce que je viens de dire dans ce commentaire est une toute petite partie de ce que j’explique dans mes livres De plus c’est très approximatif et brouillon.
Enfin, toutes les hypothèses que vous évoquez à la fin de votre commentaire trouvent leur sens dans mon explication de l’univers, elles ne sont pas contradictoire pour moi mais complémentaires.
Bien à vous,
Boris CHOMARD
@Céleste Albaret qui a changé son nom en Vanina Vanini
Profil et synopsis modifiés (précisions) par rapport à vos commentaires.
@Céleste Albaret
Être content de moi m'importe peu. Ce qui m'intéresse ce sont des critiques argumentées qui feraient progresser ma compréhension des choses (et éventuellement celle de mon contradicteur) et non pas des jugements de valeur sans justification. Dommage, j'aurais aimé débattre avec vous avec de vrais arguments mais, comme vous me l'avez dit, vous n'en avez ni le temps, ni l'envie donc restons en là. Je vous souhaite une bonne journée.
Si vous êtes content de vous, tout est bien qui finit bien.
@Céleste Albaret
Pour ce qui est du "charabia", c'est un jugement de valeur qui nécessiterait des explications pour être pris en considération. En l'état actuel des choses, c'est juste une opinion sans justification.
Tout possède sa propre logique et, pour moi, c'est la cohérence de chaque logique avec tout le reste qui détermine sa pertinence.
Dans mon livre, il n'y a aucune critique de la science (épistémologie), ni d'aucun mythe, ni d'aucune croyance. Bien au contraire, tout est cohérent (tel qu'il est) avec ce que je décris.
Je pense que décider que : "mettre sur le même plan la science et les croyances est de la plus haute saugrenuité" est un présupposé qui limite de façon arbitraire le champ des recherches. D'autant plus, que dans mon livre, la science et chaque croyance ne sont pas exactement sur le même plan mais sont un point de vue différent d'une partie différente de l'univers, ce que je précise dans le livre.
Au vu de vos commentaires, j'ai le sentiment, et je peux me tromper, que vous n'avez pas réellement lu mon livre mais avez survolé le 1er préambule puis lu le 2ème préambule. Sans la compréhension de l'univers expliqué dans le 1er préambule, moi aussi je me demanderais si je n'avais pas abusé de psychotropes en écrivant le 2ème préambule.
Je ne vais pas vous embêter plus longtemps, je souhaitais juste répondre à votre commentaire.
Guère le temps ni l'envie de me lancer dans le commentaire d'un texte qui ne recule pas devant le plus franc charabia. De plus, ce n'est pas tant ici un problème de failles ou d'incohérences que d'approche (la plupart des délires, sinon tous, possèdent leur propre logique). Car mettre sur le même plan, comment dire ? épistémologique et métaphysique la science et les croyances (religions, mythes, etc) me semble relever de la plus haute saugrenuité.
@Céleste Albaret
Lol. J'aimerais savoir si c'est l'univers que je décris qui est dingue et dans ce cas, je suis totalement d'accord avec vous. Ou, si c'est l'explication que j'en donne qui est complètement délirante et dans ce cas, je serai vraiment très intéressé de connaître les failles que vous avez détectées dans mon raisonnement ou les problèmes de cohérence entre mon explication et ce que l'on perçoit de notre réalité, la science ou toutes les croyances évoquées dans ce livre.
En tout cas, merci pour avoir lu mon livre et merci pour votre commentaire.
Alors là, on peut dire que vous faites fort ! Je me demande toutefois si l'abus de psychotropes est si bon que ça pour la santé.