Alain Lemeunier

C'est beau, arrangé par Duke Ellington, cela donne envie de lire la suite.

Sous couvert d'ironie se cache une grande intelligence et des connaissances étonnantes. Continuez à nous régaler de ces blasphèmodélires.

Vous m'avez eu. J'avais dans un premier temps pensé vous demander son 06, puis je me suis dit qu'une compagne aussi parfaite ça n’existait que dans les livres (ou alors, mon épouse), puis j'ai compris et là une bouffée de tendresse. Mon fils a la même. Je n'aurais qu'un mot de plus, encore, régalez nous encore.

Bonjour Gwenn. Ce texte me touche beaucoup. J'ai perdu ma mère pendant le Covid, je ne lui ai pas dit adieu et nos derniers mots au téléphone furent difficile car elle avait perdu la tête. Je ne lui ai pas dit que je lui en voulais de m'avoir foutu dehors à 18 ans. Alors j'ignore si ce récit est le votre, mais vous l'avez, comme à votre habitude, merveilleusement écrit. (ma mère c'était Maryse la fille de César).

Bonjour Albert, votre récit est dérangeant, mais c'est ce qui fait son attrait. J'imagine que des personnages comme votre héroïne existent dans la vraie vie. Ce qui importe ici c'est votre style d'écriture. C'est clair, contemplatif sans que cela devienne glauque et bien que je n'ai pris aucun plaisir à cette lecture, j'ai avalé (non pas de jeux de mots) ces quatre pages sans m'en apercevoir. C'est le signe que c'est bien écrit et pas ennuyeux. Je souhaiterais vous découvrir dans un autre domaine.