Oui, tout à fait ça, très visuel, très descriptif, parfois un peu trop à mon goût, mais en même temps, ces descriptions participent à cette sensation d'être dans la scène. Et votre imagination est sans limites.

Ambiance cauchemardesque. Bien vu. Style film catastrophe. (bon, à mon goût, un peu trop d’explications techniques en italiques, mais c’est comme un légume qu’on n’aimerait pas dans son assiette, on n’est pas obligé de le manger, et ça ne gâche pas ce que l’on aime !). Et peut-être que j’ai eu envie que cela accélère un peu plus dans la catastrophe, parfois j’ai eu un peu l’impression que je relisais un peu la même situation. Mais c’est vrai qu’on est un peu mal habitué avec les films à ce qu’il se passe toujours un drame en plus qu’on n’attend pas. Bravo, super scénario.

Tout d’abord, bravo ! D’avoir mené cette entreprise, cette aventure qu’est l’écriture, et surtout d’en avoir fait un tout très cohérent. La première chose qui m’a plu, c’est de ne pas avoir à me "taper" des pages entières de descriptions du monde de cette planète là de cette année là ! Non, avec Ilthermins, on rentre tout de suite dans le vif. Sans doute un peu trop de dialogues à mon goût, pas tous fondamentaux ! mais qu’importe, je pinaille, ça avance, il y a cette intrigue qui nous tient et on n’est pas sans arrêt en train de voir les références sff gros comme le nez au milieu de la figure. Bref, bravo, continuez et longue vie à Eylisme et sa tribu.

Ah oui, vraiment horreur, très fort. Pas du tout ce que je lis en général, mais je n’ai aucun mal à me faire alpaguer. Ecriture visuelle, très bon rythme dans l’alternance de la narration et des dialogues, on regarde les mots comme un film d’horreur. A la fois totalement prise et en sautant des lignes (comme on se cache les yeux au cinéma :)

Ah oui, l’imagination est foisonnante, j’ai eu du mal à suivre l’image, tant le langage n’offre que peu de repères. Parfois, je me demandais si la traduction faisait des zappings ! Non, seulement la langue qui n’est pas cartésienne comme la notre je suppose. Mais cela donne un monde mystérieux et onirique.