Frédéric Moreau

Biographie

En amour, on ne choisit pas, on tombe.
Il m'a fallu attendre de dépasser la quarantaine pour tomber amoureux pour la première fois de mon existence.
Professeur des universités, j'étais un scientifique rationnel et organisé après avoir été un enfant sage comme une image.
La découverte tardive du sentiment amoureux et des tourments qui lui sont associés m'a donné envie de raconter cet épisode aussi magique que douloureux et de le partager.
J'ai donc commencé à écrire tous les soirs après le travail. Au bout de trois années de labeur mais aussi de plaisir, j'ai distribué mon "roman" autour de moi et le résultat fut extrêmement positif.
Les proches n'étant pas les plus objectifs, je tente à présent la publication gratuite auprès d'un public anonyme en espérant qu'il plaira également.

Frédéric Moreau a noté ces livres

5
Au cinéma, il y a les "feel-good movies", vous avez écrit un "feel-good book", un de ces livres qui fait du bien quand on les lit ! La lecture étant fluide et aisée, j'ai dévoré votre roman en moins de 24 h. Vous arrivez aussi à créer des dialogues vivants et réalistes plutôt que "littéraires" (c'est un compliment, les dialogues doivent refléter la "vraie" vie à mon goût et ne pas être trop sophistiqués, sinon on n'y croit pas une seconde). Et puis, la fin... Bien joué ! Quelques fautes (surtout des conjugaisons ou des confusions entre conditionnel et futur) mais rien de grave et rien qui gâche le plaisir de ma lecture (et pourtant, je suis à cheval sur les fautes : s'il y en a trop, je m'énerve et perds le fil !). Bref, merci pour ce bon moment de lecture, Isabelle ! Je vais maintenant m'atteler à la suite ! Cordialement, Fred
Publié le 17 Septembre 2017
5
J'ai a-do-ré ! Déjà, fait troublant, les prénoms des deux personnages masculins sont les mêmes que dans mon roman : Sébastien et Frédéric. Et, comme dans mon roman, ils sont amoureux de la même femme ! Mais la comparaison s'arrête là : vous avez un talent littéraire bien supérieur au mien, vos descriptions, votre style et votre vocabulaire riche apportent un souffle indéniable à cette histoire (en fait, à CES histoireS puisque le passé ressurgit et apporte un surplus d'émotion). De tous les livres que j'ai lus sur mBS, c'est désormais mon préféré. Il est même supérieur à beaucoup de romans édités. Je vous souhaite donc d'être éditée, vous le méritez. Mieux : en bon cinéphile que je prétends être, en vous lisant, je voyais le très beau film que votre histoire pourrait faire : de l'amour, du suspense, de l'émotion, des flash-backs sur fond de seconde guerre mondiale, le tout agrémenté des airs géniaux de Chopin. Quel film sublime ça pourrait faire ! Merci pour toutes ces émotions. Cordialement, Fred PS : sur la forme, quelques fautes, très rares (mais je suis un peu à cheval là-dessus !), pas vraiment gênantes mais malgré tout surprenantes car 99,9% du roman est nickel. Votre futur éditeur les fera corriger !
Publié le 12 Juillet 2017
4
Ça s'appelle "Les silences de Lucie" mais cela aurait pu tout aussi bien s'appeler "Les combats de Lucie" (ceci dit, "silences", c'est mieux !) tant l'énergie développée par l'héroïne nous transporte de page en page jusqu'au dénouement très fort. Merci pour ce très beau roman. Seul bémol pour le maniaque (et vieux con !) que je suis : il y a trop de fautes à mon goût et vous êtes également un peu fâchée avec les ponctuations (notamment ces fameux ".." qui n'existent pas, c'est soit un, soit trois !) et les espaces (parfois, il y en a trop, parfois, ils manquent). Mais ce ne sont que des critiques sur la forme qui sera, je n'en doute pas, améliorée par votre éditeur ! C'est bien cela le plus important et le plus beau : sincères félicitations pour ce beau roman, pour le prix que vous avez remporté et pour sa future édition. C'est une belle aventure qui commence pour vous ! J'espère qu'il touchera un large public, vous le méritez.
Publié le 03 Janvier 2017
5
50 pages bouleversantes et lues d'une traite. On souffre avec vous ; c'est terrible mais aussi très beau, l'amour qui vous unit étant si fort. Quelques petites fautes mais là n'est pas l'essentiel. Ça donne envie de lire la suite même si on connaît déjà, dès la première page, le triste épilogue. Merci et bravo.
Publié le 30 Novembre 2016