Ce texte est intemporel, il sculpte, déchire, peinturlure un milieu social. Mais ce n'est pas une critique de classe, c'est un portrait de personnages avec leur élan, leur faiblesse, leurs trahisons. On les comprend tous et on comprend leur fond d'humanité. Aucun n'est un saint, mais aucun n'est une ordure. L'écriture est svelte, précise quand on se prend à y revenir. Simple mais jamais banale; Accessible mais très construite. On a parfois une impression de densité comme si les noeuds de l'intrigue était très serrés, comme si l'on ne pouvait souffler...(trop?). Il faut bien sûr comme le dit Kroussar, plus de pages. Elles manquent, pour aérer cette chronique de Société à la fois blasée, passionnée et résignée. Comme il nous manque une fin. Je critique parce que c'est bon.

un livre palpitant. L'intrigue est progressive, précise et créé un "suspense" psychologique tout au fil des pages. Construit en deux volets, le livre retrouve un nouveau souffle à mi parcours jusqu'aux révélations finales. Très bon.

La talent de ce livre c'est de sentir en permanence le calme et la tempête, le calme d'un couvent, celle d'une quiétude perdue, d'une plume maitrisée... face à la determination et la colère d'un homme déchiré révolté qui n'a plus de raison de vivre à part celle de réinventer la justice. Je vote pour ce livre.

C'est évidemment très court. Mais vous avez le sens de la nouvelle. A mon avis faites sauter le petit paragraphe d'explication. On comprend bien le lien entre l'enfant et l'arbre. Nul besoin de le souligner...

Bonjour. Votre récit est à cheval sur un récit documentaire, une histoire vraie et un roman. Il faudrait selon moi choisir un registre plus clairement pour que l'on comprenne ou vous voulez nous emmener.