Martine Plouvier-Vivien

@Daniel Mauleine Très bon livre, superbement écrit, qui ne fait pas mentir le synopsis. On découvre bien "de l'intérieur le microcosme d'un collège", ce qui nous permet, à nous lecteurs "non initiés", de mieux comprendre la démobilisation de certains enseignants, représentés par Julien. J'ai aimé suivre l'évolution progressive de cet homme devenu cynique et désabusé au fil de sa carrière, et qui se voit "métamorphosé" par l'amour. Ou devrais-je plutôt dire "révélé dans sa sensibilité à fleur de peau" que cachait sa carapace destinée à le protéger de la souffrance. Et enfin, l'apothéose à la fin du livre, qui, je dois l'avouer, m'a beaucoup émue, au point de me mouiller les yeux. J'ajoute que le titre de votre livre est parfait.

@Yolaine Rivière J'ai dévoré votre livre, tout aussi intéressant que le premier tome, d'un point de vue historique, et captivant par l'intrigue, qui m'a tenue en haleine jusqu'à la fin. La petite touche supplémentaire d'introspection des personnages les rend encore plus attachants. On vibre, on espère, on se réjouit avec eux. On partage aussi leurs déceptions et leurs chagrins. J'ai apprécié également les subtiles réflexions philosophiques et spirituelles, ainsi que la fine analyse psychologique des personnages. Dans ce deuxième tome, les événements historiques s'intègrent harmonieusement au récit, au fil d'une écriture fluide, élégante et affûtée. Un superbe roman historique comme je les aime, mon seul regret étant d'avoir dû quitter Emrys, Kervy et leur famille. Un troisième tome en vue, peut-être ? Cela ferait une belle trilogie. Merci beaucoup, Madame, pour cette lecture aussi intellectuellement et humainement enrichissante que divertissante. Et bravo pour votre talent littéraire.

Bonjour@Paul Vernon Un livre plein d’humour, de fraîcheur et de tendresse, que j’ai lu presque d’une seule traite. Cette vision de la vie, à travers les yeux d’un garçon de douze ans nous replonge nous-mêmes en cette simplicité et cette spontanéité de l’enfance, qui ne s’embarrasse pas de circonvolutions pour exprimer les choses simples. Nous-mêmes nous aimerions bien retrouver de temps à autre cette simplicité enfantine qui nous fait appeler un chat un chat, surtout en ces instants tragiques où la vie nous happe dans ses filets destructeurs. Aborder par l’humour les sujets les plus sombres, tel celui de la mort, tout en laissant deviner au lecteur cette profonde émotion que l’on réfrène par pudeur, est un art, que vous maîtrisez incontestablement. Bravo !

Bonjour @Hubert Huertas, Je suis à la page 69 de votre livre, et je l’aime déjà beaucoup. C’est une histoire poignante, qui par moment a suscité en moi un sentiment d’indignation. Car votre récit évoque la difficile épopée d’une famille d’émigrés, comme il en a existé de tous temps, confrontés à la cupidité, au racisme et à l’inhumanité de ceux qui exploitent sans scrupule la misère des autres. La scène qui se déroule sur les quais de Dunkerque, lorsque les familles découvrent qu’elles se sont fait arnaquer est déchirante. On imagine leur désarroi après la liesse à leur arrivée au port. C'est un drame que vivent également énormément de migrants aujourd'hui, malheureusement J’apprécie également les très intéressantes références historiques qui s’intègrent harmonieusement au récit. Le tout dans un style fluide qui rend la lecture très agréable. Bravo pour votre livre que je vais continuer à lire avec grand intérêt. Martine

@Charlotte De Garavan, J'ai beaucoup aimé votre livre. Il raconte l'histoire d'une femme en recherche d'amour et de tendresse, qu'elle ne trouve pas ou plus dans son couple. On devine qu'elle va se laisser séduire par un homme dont elle sait pourtant qu'il ne lui apportera pas ce qu'elle recherche. Ambivalence des sentiments, jeux dangereux qui sans doute vont la faire souffrir. Un agréable moment de lecture, merci !