Alors, là, chapeau ! Par curiosité coquine, j’ouvre votre livre, m’amuse à lire vos lignes (il y a qqs bijoux "rien qu’à le voir, je suis liquide"), je biche, et... j’apprends que Stefan Zweig s’est suicidé à Petropolis. Je rentre dans un autre monde, google, Stefan Sweig et (re)lis "24h de la vie d’une femme". Merci ! Mais je vous abandonne (pardon). Votre petite légèreté est pas mal du tout.
Publié le 01 Septembre 2018