@Monsieu Quirin, Permettez moi un petit poème pour Monsieur Jérôme. Migration Tel que tu me vois Je suis migrant D’un Pays imaginaire Dont il ne me demeure Que les souvenirs Et mes larmes Que je dépose En arrivant En ce pays nouveau Qui me donnera Une parcelle De son territoire Et de son amitié Pour me créer De nouveaux souvenirs Lorsque mes yeux verront Une clôture qui se dissolve Comme un nouveau respire À ceux pour qui ce sera l’envol Oh liberté comme tu es un beau navire Un mur qui se fissure Pénètre une lumière qui chavire Ceux qui retrouveront la verdure Oh liberté comme tu es un beau navire Une frontière que survole l’oiseau Dont la cage tuait le sourire Me permet de lui tendre le roseau Oh liberté comme tu es un beau navire Cet endroit où je suis en pays ami Là où l’on ne peut plus me détruire Je le dois à vous qui m’avez accueilli Oh liberté comme tu es un beau navire

Bravo et Merci@Monsieur Jean-Pierre Quirin. J`ai eu plaisir, beaucoup de plaisir à lire ZaZa et la suite dans laquelle j`ai eu un peu de tristesse de la mort de Monsieur Jérôme. Par contre, il était aussi beau dans sa mort qu'il était beau dans sa vie.

OUF! @ Monsieur Ballet. La première scène de violence m'a tourboulé, mais après une bonne nuit de sommeil j'ai repris votre roman que j'ai trouvé énergique avec du suspense, de l'amour dans l'air, bref j'ai aimé votre roman. Mes synapses ont réintégrées leur bocal et j'ai passé de bons et beaux moments avec votre roman. Bravo et merci.