
Je m'appelle Leïla. J'ai eu quinze ans. J'ai aujourd'hui vingt huit ans. Mes souvenirs se croisent et s'enchevêtrent dans le présent. J'ai relaté cette histoire pour moi, pour étayer les jours et les années qui vont suivre. Cet avenir, imprévisible par définition, a besoin de solides fondations. Je le vois aujourd'hui clair, mais il restera à jamais lourd du passé de mes parents, de ma mère surtout, et marqué par ce faux grand- père dont le passage éclair dans ma vie d'adolescente a laissé des traces indélébiles. Je l'ai écrite aussi pour celui qui partage à présent ma vie. Je lui dédie ce livre. Je sais que rien n'est jamais acquis, mais je veux lui dire que je l'aime.
C'est fait.
PS : ce deuxième tome est la suite de "Zana".
Ce livre est noté par
@Raymond Lefebvre
Finalement, j'ai trouvé "Craque La Vie' sur internet. Je vais lire et je vous dirai.
@Raymond Lefebvre
Je serais ravi de lire votre poésie. Malheureusement, je ne trouve rien sur le site, ni à Raymond Lefebvre, ni à Raymond Kvist.
WOW! Merci@ Monsieur Quirin c'est gentil.
Il semble que nous ferons un échange de poésies.
Je verrai le votre. Vous pourrez voir le mien à mon nom Raymond Kvist.
P.S. Le site ayant des problèmes avec mon nom j`'ai choisi Lefebvre, le nom de ma mère.
Au plaisir de se rejoindre avec nos mots.
@Raymond Lefebvre
Si vous aimez la poésie, peut-être pouvez-vous vous plonger dans mon recueil publié sur le site intitulé 'Sous la poussière des jours", et me dire ce que vous en pensez.
Cordialement.
@Raymond Lefebvre
Bonjour. Merci pour votre poème, plein d'émotion. J'ai tenté de le remettre en forme ? Voici ce que j'ai fait.
Est-ce bien cela ?
Migration
Tel que tu me vois
Je suis migrant
D’un Pays imaginaire
Dont il ne me demeure
Que les souvenirs
Et mes larmes
Que je dépose
En arrivant
En ce pays nouveau
Qui me donnera
Une parcelle
De son territoire
Et de son amitié
Pour me créer
De nouveaux souvenirs
Lorsque mes yeux verront
Une clôture qui se dissolve
Comme un nouveau respire
À ceux pour qui ce sera l’envol
Oh liberté comme tu es un beau navire
Un mur qui se fissure
Pénètre une lumière qui chavire
Ceux qui retrouveront la verdure
Oh liberté comme tu es un beau navire
Une frontière que survole l’oiseau
Dont la cage tuait le sourire
Me permet de lui tendre le roseau
Oh liberté comme tu es un beau navire
Cet endroit où je suis en pays ami
Là où l’on ne peut plus me détruire
Je le dois à vous qui m’avez accueilli
Oh liberté comme tu es un beau navire
Désolé @Monsieur Quirin je n'arrive pas à enlever le poème qui est devenu un texte â n`y rien comprendre.
@Muriel Nonette
Merci pour vos étoiles. Vous avez été embarquée, dites-vous. J'ai donc réussi à vous entraîner dans cette histoire, c'était bien mon but, que vous preniez une part de tarte et que vous vous régaliez.
@Aouadi ahmed
Merci pour votre avis positif. La vie, c'est vrai, est parsemée de tant de choses...
@Jran-Pierre Quirin
Bonjour,c'est genial,belle histoire pleine de peines et de remords de la vie que mene chacun a sa facon ,soi-disant.merci bcp .