Vous avez bien fait de redonner à votre récit un petit air de renouveau en cette période de nouvel an. C’est particulièrement à propos. C’est un récit étonnant. Cela commence comme une romance. On pourrait croire qu’on s’est trompé de choix. Et puis très vite, à quelques échanges, de dialogues, de regards, vous m’avez capté dans votre nuit du nouvel an à San Francisco. Jusqu’au bout, vous avez l’air de lutter et de résister à ne pas faire un happy ending. Vous nous faites douter. Et c’est probablement ça qui fait de votre récit une très belle histoire. Bravo et merci de l’avoir exhumée.

Très étrange et très belle histoire. Dite de manière troublante, presque dérangeante. Mais, attirante. Comme une belle toile d’araignée qui emprisonne avec son consentement.

Je vous ai lue avec curiosité, sourire et affection. Vous réveillez un peu nos madeleines, même si ces temps reculés paraissent aujourd’hui totalement zombiesques ! (où « quelque ustensile de cuisine ferait le bonheur de la famille »). C’est un joli conte et vous rafraichissez – et pas que notre mémoire – de le raconter ainsi. Comme un journal qui veut laisser une trace aux générations d’après. Merci pour ce partage.

C’est très subtil votre roman. Simple (et loin d’être simplet) pour traiter de deux sujets qui ne le sont pas… Bravo à vous, je me suis laissée guider par vos mots et votre récit, à tel point que j’en ai oublié le début quand j’espérais que le gogol se rebellerait. Mais il s’est mieux que rebellé votre anti-héros, il s’est révélé. Vos 3 personnages sont magnifiquement définis et le théâtre des figurants tout autant.

J’ai commencé votre livre 1 an pile après la date de sa fin. Et je me suis laissée embarquer par votre plume colorée et généreuse, votre enthousiasme de chaque moment. Dire que vous aimez votre île et voulez partager cet amour est un vain mot ! Et vous avez de réels talents de conteurs, vos amis ont eu raison de vous y inviter. Vous êtes presque un scénariste d’ailleurs. Merci pour ce partage.