unpetit50

unpetit50 a noté ces livres

2.01
Ah oui, quelle histoire incroyable ! que vous racontez comme un journal, avec parfois des petits détails qui semblent presque superflus, mais donnent une véracité à la scène, et d’autres fois des grands blancs que l’on aimerait qu’ils soient comblés, mais qui eux entretiennent le mystère. Un savant dosage raconté par une écriture fluide, coulante. Et comme vous aimez les adages, coup d’essai, coup de maitre !
Publié le 04 Août 2024
2.01
Ah la quête des origines, des non dits, des secrets, de l’envie de savoir d’où l’on vient, qui était qui, et pourquoi cela s’est passé ainsi… est un puit sans fin, et me passionne toujours, tant cela nous renvoie à nos propres questions, à nos propres vies. Votre manière de le traiter est surprenante au début, ça chahute un peu, et on rentre dans votre rythme, dans votre scénario, et on se l’approprie. Sans doute pourriez-vous rendre les dialogues j’imagine la difficulté de l’exercice) un peu plus percutants, un peu moins dans le quotidien, mais bravo pour cette belle histoire.
Publié le 15 Juillet 2024
2.01
La manière dont vous racontez est tout à fait délicieuse, votre langue est colorée, même si ce que vous dites est un fléau qui n’a pas de frontières. Mais sur le plan narratif, je trouve que vous devriez justement être moins dans le compte rendu des faits et sentiments et plus dans l’évocation. Mais je me répète, votre manière de raconter est très plaisante. Merci pour ce partage.
Publié le 12 Juin 2024
3
Le titre est osé, mais il est aussi à propos. Très belle histoire, tragique. Un roman. Avec les ingrédients qui fait qu’on ne peut pas ne pas vouloir aller au bout. Un personnage, un drame annoncé, un destin. Et ce pays magique que vous racontez sobrement et avec une grande justesse.
Publié le 28 Janvier 2024
2.4
Ecriture au scalpel, dîtes-vous, c’est exactement cela. C’est vif, saillant, ça fonce. Ce n’est pas que c’est difficile de vous suivre, mais ce saccadée, ce découpage par personnes, ces dialogues brefs, systématiquement brefs, enlèvent toute empathie. Or, même si c’est une machine, non une business woman mais une med woman, qu’elle est toujours dans l’extrême, dans l’excès, son accident, la faillite de sa vie perso, devraient, je trouve, générer de l’empathie à son égard. Mais vous avez voulu ce style, sans concession dite-vous, un peu ses à la longue pour moi. J’ai eu envie d’arrondir les angles, d’aplanir vos montagnes, d’adoucir vos combats, j’ai eu envie de me l’approprier, mais j’ai du lutter ! car c’est sans doute pas ce que vous avez voulu. Mais je suis curieuse et déterminée et j’ai eu envie d’aller au bout. J’ai eu raison ! mais quelle lutte…
Publié le 15 Janvier 2024

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