Zoé Florent
Présentation

J'ai décidé de quitter définitivement mBS en tant qu'autrice.
Je souhaite une bonne continuation aux quelques autrices et auteurs que j'ai sincèrement appréciés et remercie encore ceux qui m'ont suivie et gentiment conseillée durant ces dix dernières années. Je reste présente en tant que lectrice pour eux, et eux seulement.

Quelques textes courts en lecture libre, chez Atramenta : https://www.atramenta.net/authors/zoe-florent/127124

Mes romans sur Amazon :
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Zoé Florent a noté ces livres

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Pour connaître le désagrément de voir disparaître comptes et commentaires, j'essaie de retrouver ceux (composés hors ligne et conservés) laissés par Lamish, puis Zoé Florent. Il est clair qu'il n'obligent pas à une réponse déjà faite ;-). Voici donc celui de Lamish à propos de "Danuta" /// "Bonsoir, Jean-Bernard. Vous lire est toujours très dépaysant, car vous vous imprégnez de vos romans au point d’embarquer vos lecteur et de leur offrir un dépaysement des plus plaisants. Cette fois-ci, vous nous servez une véritable saga sur fond d’exode de noblesse polonaise. Un sujet qui m’a interpellée, pour les raisons que vous savez. Tout comme le monde du cirque qui a longtemps exercé sur moi une véritable fascination. Un côté poupée russe avec plusieurs histoires dans l’histoire. J’ai aimé celle, très imaginative, développée autour du médaillon. Toujours ces personnages féminins au caractère trempé, que vous affectionnez. Et puis tous ces sujets connexes que vous développez, l’air de rien, mais dont on sent qu’ils vous tiennent à cœur. Des sujets qui, mine de rien et tels que vous les abordez, sont autant de petits soldats prêts à combattre les préjugés. J’ai toujours l’impression que vous vous faites très plaisir, en écrivant, en pliant scénarios et personnages à vos désidératas, et ce plaisir est très communicatif ;-). Plaisir accentué par votre générosité en matière de multiples happy-end circonstanciels. Alors Merci pour ce délicieux partage, et au plaisir de me promener, dans quelques mois, dans les méandres de votre imagination. Amicalement, Michèle"
Publié le 02 Novembre 2022
3
J'ai retrouvé celui-ci aussi... Écrit alors que nous pratiquions encore le vouvoiement : "Bonjour Damian. Merci d’avoir accédé aussi rapidement à ma demande ;-). Vous écrivez vite et naturellement bien… Si vous vous êtes fait plaisir, je ne serais pas étonnée que ce premier roman, né d’une simple envie, soit suivi par d’autres. /// Si j’ai particulièrement aimé découvrir Adam, me glisser dans son cœur et son esprit, cela tient essentiellement au fait que j’ai retrouvé les mêmes doutes, interrogations, réponses et attitudes que j’ai vécues à son âge… et que je vis toujours, paradoxalement et malgré le temps qui passe, car ce sont elles qui m’ont toujours donné l’impression que ma vie a valu et vaut encore la peine d’être vécue. /// Vous avez su en quelques mots, au travers de quelques brèves scènes et dialogues, exprimer la largesse d’esprit et le naturel des pays germaniques, l’incroyable énergie de la Grèce, toutes ses mentalités, ses ambiances si différentes des nôtres. /// Notre pays, lui, est définitivement singulier, car le cul entre deux chaises bancales. Sous influence latine, le piétement de l’une est fait de passion, de morale, de non-dits, de machisme et autres tendances dénuées de nuances. Sous l’influence germanique, celui de l’autre est fait d’esprit libertaire, de sensibilité aux nouvelles idées, d’eudémonisme, d’attitudes naturelles et spontanées… Cette position inconfortable n’est sûrement pas étrangère à cette forte émulation intellectuelle qui l’anime depuis toujours, d’ailleurs ; à la violence de certaines joutes lorsque les avis divergent aussi. En bref, avoir trouvé tout cela sous la plume d’un homme jeune va à l’encontre de la profusion de conclusions aussi pessimistes que fatalistes… d’où un enthousiasme non feint qui méritait d’être développé ;-). /// Merci encore, Damian, et bonne fin de journée. Amicalement, Michèle" /// Je suppose que, tout comme moi, cela va t'amuser de le relire ;-). Bises et bonne journée, Zoé-Michèle
Publié le 02 Novembre 2022
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Pour connaître le désagrément de voir disparaître comptes et commentaires, j'essaie de retrouver ceux (composés hors ligne et conservés) laissés par Lamish, puis Zoé Florent. Il est clair qu'il n'obligent pas à une réponse déjà faite ;-). Voici donc celui de Lamish à propos de "Pudeurs croisées" : "@Damian Jade Je m’étais déjà sentie “comme chez moi” à la lecture de « La complexité des choses simples » et de « La pudeur de l’intime », alors, forcément, la réunion des personnages attachants de ces deux romans courts dans un troisième m’a comblée. /// Toujours ce style sobre, à la fois dense et léger, pour brosser ces possibles rapports harmonieux entre les êtres lorsque générosité, empathie et ouverture d’esprit sont au rendez-vous, que les cœurs sont accueillants, que le partage des corps se fait naturellement, sans ambigüité ni perversion, sans notion de possession, dans un partage équitable qui nourrit, enrichit tous les protagonistes. /// Nul doute que réunis dans un seul roman, tes trois bébés formeront un page-turner qui distillera assez subtilement ton message pour, je l’espère, convaincre, faire des émules… Faire le deuil, que ce soit d’une relation ou d’un disparu ne devrait jamais soustraire à la vie. /// Pour conclure, je te remercie d’offrir des romans qui parlent de la relation aux autres, tous genres confondus, au lieu de tourner autour de toi, comme c’est souvent le cas ; cette main tendue, cette démarche généreuse, font que l’on se sent bien dans ton univers… Sans compter ce réconfort supplémentaire procuré par ta vision de la femme… Une véritable douceur pour ton lectorat féminin. /// Pour tout cela, un immense merci. Bises et bonne soirée, Michèle"
Publié le 02 Novembre 2022
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@Fernand Fallou "L'accabadora"... Sais-tu que Michela Murgia a écrit un roman portant le même titre ? Je ne l'ai pas lu, mais son résumé précise : "L'accabadora, mot qui tient son origine de l’espagnol acabar, est celle qui finit, et, comme on le lit sur la couverture de l’édition italienne, « aux yeux de la communauté son geste n’est pas celui d’une meurtrière, mais celui d’une femme affectueuse et compatissante qui aide le destin à s’accomplir. Parce qu’elle est la dernière mère. » /// Toi, tu exploites le sujet autrement, tu vas loin, tu dérapes, et ce qui ne passerait pas sous une autre plume, eh bien force est de constater qu'une fois de plus, ça passe comme une lettre à la Poste sous la tienne ;-) /// Merci pour cette petite dernière et à bientôt de te lire, à l'occasion de votre prochain défi de Noël, avec Parthemise33. Bises et bon week-end, Michèle
Publié le 22 Octobre 2022
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@Camille Descimes Beaucoup d'émotion à vous lire, Camille. Cette suite m'a permis de mieux appréhender ce désir qui vous a animé, lors de l'écriture de ces deux romans, de créer un contraste entre le début et la fin, car la profondeur de votre récit va crescendo au point de malmener esprit, cœur et tripes. /// J’aurais tant à écrire… et sur les dinosaures despotes, et sur les gros lourdingues qui se protègent derrière un bouclier de vulgarité, et sur un système hospitalier à bout de souffle, et sur l’abnégation de certains et l’humanité dont ils font preuve sans compter… les relations familiales, l'amour, le suicide... Tant à écrire pour vous signifier à quel point j’ai été en prise direct avec votre monde. Je ne peux détailler chacune de mes impressions tant elles ont fourmillé, m’ont bousculée, fait rire, sourire et pleurer. /// Vous dites vous être inspirée de situations vécues, et j’en déduis que vos personnages sont inspirés de personnes que vous avez connues. Le cas échéant, et dès que vous en aurez l’occasion, faites-leur « un fuerte abrazo » de la part d’une de vos lectrices, car ils ont le pouvoir de réconcilier avec l’humanité… Avec un petit rab pour Sylvain qui m’a éclatée, of course ;-). /// J’ai également apprécié le chapitre 32 au-delà de ce que vous pouvez imaginer ; tel quel, il ferait une excellente tribune, ici-même. /// En montagnarde d’origine, et pour avoir goûté et goûter encore aux merveilleuses sensations qu’elle procure, j’ai crapahuté en compagnie de vos personnages avec plaisir aussi. /// Pour conclure, je suis sûre et désolée de ne pas parvenir à exprimer avec justesse à quel point « Primum non nocere » m’a touchée. /// Mille mercis pour ce partage et bonne soirée. Amicalement, Michèle
Publié le 20 Octobre 2022

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