Zoé Florent

Biographie

"Si tu éprouves le désir d'écrire, et nul autre que l'Esprit n'en détient le secret, tu dois maîtriser connaissance, art et magie :
la connaissance des mots et leur mélodie,
l'art d'être sans fard,
et la magie d'aimer ceux qui te liront."
(Khalil Gibran)

Élève des Beaux-arts, puis infirmière psychiatrique, Michèle, alias Zoé Florent (ex-pseudo d'auteur Lamish) a ensuite travaillé dans des secteurs très variés.
Après dix années passées en Espagne, elle s’est installée en Haute-Savoie.
Dans un genre réaliste, le plus souvent intimiste, elle a écrit de nombreuses nouvelles, des novellas, des romans...

Zoé Florent a noté ces livres

5
Bonjour @antarabdelaziz38. Une véritable friandise, votre nouvelle ; très nourrissante de surcroît. /// L'histoire de l'amiral ne manque pas de force, de piquant. Quant à la profusion de mots à racine étymologique arabe, elle m'a bluffée. /// Vous lire m'a d'ailleurs rappelé une anecdote aussi véridique que cocasse : en voyage dans quelque contrée reculée du Maroc avec des amis, l'un d'eux s'est proposé de soigner un autochtone souffrant d'un vilain panaris. Voulant mettre le patient en confiance, nous lui répétions à l'envi que l'ami en question était médecin... sans que nous vienne à l'esprit le mot toubib :-). /// Ayant vécu en Espagne, j'ai également pu juger de la forte influence de la langue arabe sur le castillan. J'aime cette idée que le langage puisse progressivement rapprocher les êtres à leur insu... /// Merci pour le partage de cet habile exercice de style et bonne journée. Amicalement, Michèle
Publié le 22 Septembre 2023
5
Bonjour @Brandon Bafalanga. J'ai lu votre nouvelle hier soir, mais ne la commente que ce matin, mon enthousiasme étant moindre que celui de vos trois précédents lecteurs. Voici donc mon sentiment. /// Concernant le fond, beaucoup de détails pour une histoire assez classique de premiers émois post-adolescents, puis une conclusion qui m'a donné l'impression que vous vouliez écrire un roman dont vous vous êtes lassé. En bref, vous avez écrit l'histoire d'une rencontre, suivie d'un échange épistolaire ; une rencontre qui a chamboulé l'un des protagonistes au point de le pousser à décrocher de ses études, mais il manque un développement à ce récit avorté pour être considéré comme un histoire d'amour, à mes yeux. /// Pour ce qui est de la forme, richesse du vocabulaire et côté suranné sont plutôt agréables mais l'ensemble manque de concision. De trop nombreuses répétitions gâchent votre prose ; la profusion d'épiphrases entre parenthèses, les adresses au lecteur aussi. /// J'espère que vous ne prendrez pas ombrage de ces remarques personnelles. Merci pour ce partage et bonne journée. Amicalement, Michèle
Publié le 22 Septembre 2023
5
Bonjour, @Lou Alpin2. Le sujet que vous abordez m'a interpellée, touchée. Je ressens toujours de la peine lorsque j'observe les restes en plateaux délignés (heureusement plus rares depuis le plan FLEGT) de ce que furent ces géants des tropiques. /// La forme, bien qu'agréable, pourrait être resserrée davantage. Je rejoins également @Alban Paulh : personnifier dans un langage plus poétique ce mahogany renforcerait l'effet onirique. /// Quoi qu'il en soit, considérée comme une deuxième tentative d'écriture, cette nouvelle est réussie. Merci de l'avoir partagée ici et bonne journée ! Amicalement, Michèle
Publié le 20 Septembre 2023
5
Bonsoir chère @Annie Pic. Voici une nouvelle qui démontre que ton intérêt pour la science fiction ne date pas d'hier ; qui me ramène à un sujet qui m'a passionnée plus jeune aussi : la relativité temporelle ;-). /// Merci pour cette nouvelle enthousiaste et enthousismante, par voie de conséquence... Bises et bonne soirée, Michèle
Publié le 18 Septembre 2023
5
Bonsoir @Hugues Cayzac. Faute de temps pour lire "L'arnaque de Robinson", je me suis rabattue sur "Café sanglant", en dépit de son genre, afin de lire intégralement un "Cayzac" avant son départ de cette plateforme ;-). /// Je ne connais pas le Guatemala, mais me sens moins en terre inconnue après vous avoir lu. Votre connaissance de ce pays, votre plume cash et votre style alerte favorisent l'immersion ; avec son lot d'étonnements, de malaises, de sourires... /// J'ai aimé suivre cette enquête, ai trouvé sa fin originale, assez innovante dans ce répertoire, puisqu'elle est révélée par d'autres que Marco... En bref, même si je ne suis pas experte en la matière, ils me semble que vous avez écrit là une très bon polar. /// Merci pour le partage et bonne soirée ! Amicalement, Michèle
Publié le 15 Septembre 2023

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Petit aparté : MBS a créé une plate-forme selon ses propres critères, ses préférences. Parmi ceux-ci, un classement, et la possibilité pour les lecteurs de laisser un commentaire sur les œuvres qu'ils lisent, assorti ou non d'une appréciation en nombre d'étoiles de 1 à 5, qui fait office de note. /// Je n'ai jamais aimé noter. Je n'en ai ni l'envie ni les compétences, mais ici, les commentaires sans note ne ressortent pas sous le pseudo de celui qui les rédige. /// Double inconvénient : - Ceux qui veulent méchamment critiquer et passer inaperçus peuvent en abuser. - Ceux qui participent activement à la vie du site sans noter passent inaperçus. // D'où cette dénomination, "étoiles de la visibilité" (qui occupe ceux qu'un rien amuse), car elles permettent de mettre en lumière, et ceux qui voudraient se planquer, et ceux qui mériteraient de l'être. Sans compter qu'elles guident tout naturellement le lecteur lambda, qui s'intéressera plus naturellement à une oeuvre étoilée qui se distingue des autres dans la profusion de nouveautés. /// J'ai souvent proposé aux gestionnaires de remédier à ce problème en faisant apparaître les commentaires sans note sous les pseudos, mais n'ai pas été entendue. J'ai donc décidé d'accorder 5 étoiles à tous les auteurs lorsqu'un écrit me plaît un peu, beaucoup... et de marquer la différence par un commentaire plus ou moins enthousiaste. Une façon comme une autre de réduire l'importance d'un système que je ne cautionne pas, de le régler un peu à l'emporte-pièce, certes, mais de mettre un terme aux questionnements qu'il suscite. /// Je précise que je commente après lecture intégrale et, autant que me le permet une subjectivité que je combats au mieux, jamais à la gueule du client. Que ce que certains appellent l'entre-soi (ou encore le "renvoi d'ascenseur") n'est pour moi qu'un échange de bons procédés. Toutes les plates-formes pour auto-édités fonctionnent ainsi : "je lis, je commente, je suis commenté". Sans cela, rien ne se passe (à part pour les pistonnés ou ceux prêts à casser leur tirelire pour promouvoir leurs écrits). /// Pour conclure, il m'arrive de lire des auteurs qui ne m'ont jamais lue et qui ne me liront jamais. Il m'arrive de ne pas lire ou ne pas commenter des auteurs qui m'ont lue, si leur oeuvre ne me plaît pas. /// Mais j'arrête là. Il me semble que je n'ai pas de comptes à rendre à ceux qui me cherchent des noises et j'entends bien jouir ici de la liberté d'action et de pensée si chère aux gestionnaires de cette plateforme. /// Bonne lecture a tous !

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