Isabelle Lestine

Isabelle Lestine a noté ces livres

3
Oui voilà un conte qui emprunte des chemins de traverse, charmant, je veux dire, plein de charme, vos personnages le sont, l'ordonnance de vos mots choisis, l’imaginaire, l’esprit, magique, loufoque, comme vous le dites. Je vous mets dans ma bibliothèque pour le lire et faire lire dans quelques mois. Merci pour ce joyeux partage.
Publié le 02 Septembre 2025
3
Ce sont des mémoires tout à fait inimaginables. Et votre écriture fine les rend poignantes. Il y a des phrases sublimes comme celle-ci "Je sais que je n’ai jamais été le bonheur de personne et par vilénie, personne ne m’a jamais réellement aimé. Je me suis dès lors aimée toute seule". Mais au-delà de cette vie de misère du plus grand dénuement, je n’ai pas compris pourquoi il y avait ces longues diversions sur la nature, les animaux, les plantes, les lieux. Vous en parlez magnifiquement mais j’ai eu l’impression que je ne lisais pas la mémoire de Laurentina. Votre livre est profond, dense. Merci de l’avoir partagé.
Publié le 16 Juillet 2025
3
C’est très charmant et je le mets dans la foulée dans ma bibliothèque pour les prochaines vacances (il y en a toutes les six semaines, alors si l’on veut lutter un peu contre les écrans, mieux avoir sa bibliothèque un peu renouvelée à chaque fois !). Merci pour ce partage plein d’imagination.
Publié le 17 Juin 2025
3
Je vous mets dans ma collection pour mes lectures des prochaines vacances. C’est précieux et je vous en remercie.
Publié le 30 Mars 2025
2.01
Le prologue donne envie. C’est ambitieux. Mais c’est votre mot "ne change rien" qui m’a donné envie de prolonger. C’est un étrange personnage, dense, et avant que la maladie ne soit déclarée, mystérieux. Vous en faites un personnage de roman, non pas de ceux auxquels on s’attache, ou on a envie de s’identifier, mais de ceux qui intriguent, dont on a envie de découvrir comment ils vont nous porter. Et c’est peut-être là la critique que je ferais, même si vous ne parlez que de lui, même si l’histoire ne tourne qu’autour de lui, j’ai eu l’impression de rester spectatrice, comme si vous n’aviez pas totalement "osé" le roman. Peut-être est-ce aussi parce que vous maintenez ceux qui l’entourent, sa femme, ses enfants, ses patients… dans une distance jamais très éloignée, mais jamais très proche non plus. Je disais, pas le genre de personnage auquel on a besoin de s’attacher pour aimer le livre, peut-être cela dit manque-t-il l’empathie compensatoire ?
Publié le 26 Janvier 2025

Pages