Un vieux monsieur facétieux et plein d'allant a réussi dans la mode. Il doit rejoindre en voiture une clinique en Suisse pour une cure de rajeunissement. Son petit-fils le conduit. Voici l'occasion pour notre entrepreneur d'oublier cette cure et de donner une leçon de vie et de liberté au futur ingénieur. Au gré des rencontres et des fantaisies on ira revoir une vielle amie et pourquoi pas lancer avec elle une nouvelle entreprise. On reste entrepreneur toute sa vie.
L'esprit du conte philosophique de Diderot, "Jacques le fataliste", dans le monde d'aujourd'hui.
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Bonjour,
C'est le premier ouvrage que je lis de vous. J'ai été un peu déroutée par l'absence de chapitres mais je me suis faite happer par votre histoire à partir d'un rebondissement auquel je ne m'attendait pas. Je rejoins un peu l'analyse de Sandrine C ci-dessous, toutefois j'ai trouvé plusieurs passages bien amenés.
@yolaine rivière
Merci pour cette jolie illustration des différences culturelles! Quand on travaille dans plusieurs pays avec des collaborateurs de multiples nationalités on est confronté au risque d'être maladroit ou mal poli. Un jour j'ai compris qu'il ne fallait pas trop s'en faire à condition d'être sincère et naturel. La confiance qu'on crée alors est partagée et c'est bien agréable. Votre judoka timide pourrait faire le point de départ d'une charmante nouvelle...
Si vous avez un moment, vous verrez dans JUNGLE (que j'ai mis sur MBS) qu'on retrouve Charles au moment où il fait la connaissance de Jeanne et de sa famille.
Aux dernières nouvelles, JUNGLE sera en librairie en septembre.
JJD
Le plaisir de retrouver votre style, votre quête de liberté et… de recroiser Éloise !
Quelle force de vie et quelle envie d’expérimenter transmet Grégoire !!! Un roman qui met de bonne humeur.
La relation de Muguette et Jacques me donne envie de vous raconter une anecdote. Quand j’habitais en Allemagne, je me suis initiée à l’Aïkido. Il y avait un jeune homme, un peu plus âgé que moi, dont je ne me souviens pas du nom. Le seul… ceinture noire du groupe en-dehors du maître. Lors du repas de fin d’année, il nous a avoué son dilemme : il était invité à la fête d’anniversaire d’une jeune femme qui faisait tambouriner son cœur. Il ne savait pas quoi lui offrir. Des chocolats ! me suis-je écriée. Il m’a regardée, effrayé : trop suggestif ! Oui, en Allemagne, les codes n’étaient pas les mêmes. Justement ! ai-je répondu, ce sera une délicieuse manière de lui dire !!! Échange passionné autour de la table… En conclusion, il a décidé de lui offrir… des bonbons Haribo (Bo… pour Bonn). Je l’ai regardée à mon tour effrayée ! Hihihi.
Bonjour Sandrine
Merci de m'avoir lu et d'avoir donné vos impressions. Ce voyage d'aujourd'hui est l'occasion d'une réflexion sur sa liberté et ce qu'on en fait. Un sujet pour chacun des protagonistes à des époques différentes de leur vie. La citation de Diderot vient de "Jacques le fataliste et son maître ". C'était au 18ème où la forme du conte philosophique (dont je me suis inspiré) avait l'avantage de la légèreté et de l'humour. Sans trop se préoccuper d'analyse psychologique.compliquée.
Bien à vous
JJD
Du feel good écrit par un "senior" comme on dit !, pas banal. Mais pas sûr que ce soit non plus une recette d’avenir. Non que l’aventure de ce voyage n’en soit pas une, c’est plus les situations qui certainement sont réelles, ou pourraient l’être, mais manquent d’intérêt, par manque de fond. On aurait eu envie que vos 3 personnages aient un peu plus d’épaisseur, que l’on sorte des dialogues ou souvenirs un peu convenus ; parce qu’à la fois le sujet lui-même et ce road trip sont un bon prétexte pour. Mais il y a aussi des humeurs de lecteurs et peut-être tout simplement la mienne n'était pas au diapason pour ce voyage:)