Ansia est une hôtesse de l'air d'une quarantaine d'années qui fait souvent des cauchemars depuis qu'elle a vu, à six ans, sa mère se suicider. Elle est suivie psychologiquement afin d’atténuer les effets de ce traumatisme. Elle espère que l’hypnose ou/et la révélation de la raison du passage à l’acte de sa mère pourront l’aider à aller mieux. Mais sa mamie, Yvette, ne veut absolument pas parler de sa fille. Elle pleure rien qu’à l’évocation de celle-ci. Elle préfère raconter, d'un ton enjoué, à sa petite-fille la vie passionnante de ses ancêtres depuis 1850 jusqu'à la seconde guerre mondiale pour qu’elle comprenne d’où elle vient. Elle arrête volontairement le récit avant la naissance de sa fille. Quels secrets cache Yvette ?
Voir la suite grâce au lien sur "mon profil".
Ce livre est noté par
@Ange-François
Merci pour cet agréable commentaire qui me donne envie de continuer à écrire.
@Neven
Merci beaucoup pour votre commentaire qui me donne envie de continuer à écrire.
Pour la suite, vous trouverez un lien sur mon profil.
Bonne journée.
@Michel LAURENT
Merci beaucoup pour votre commentaire qui m'aide à avancer et à continuer à écrire.
Bonne journée
Bonjour à vous, @Mila Desjardins 1
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire cette nouvelle de 26 pages, jusqu’à être frustré par une fin qui n’en est pas une. Et d’aller sur votre blog dans l’espoir d’y trouver la suite, comme annoncé dans votre bio. Sauf que là, on est redirigé vers un nouveau lien sur mbs qui, si on le suit, nous conduit sur un texte de 60 pages qui porte le même titre. En bref, vous avez deux pages pour deux versions différentes du même texte sur mbs. C’est désarçonnant pour le lecteur et ce gymkhana risque de le décourager. Supprimez cette nouvelle de 26 pages qui n’en est pas une et redirigez l’ensemble vers votre texte de 60 pages (dont je n’ai pas encore fini la deuxième partie). Au passage, justifiez votre document, c’est plus agréable pour le lecteur.
Ces 26 premières pages sont d’excellente facture. Le style est agréable et précis, l’histoire bien dessinée et, à l’évidence, d’un point de vue psychologique, vous manipulez du lourd ! Vous semblez d’attaque pour le maîtriser. Je vais donc me plonger dans cette deuxième partie…
Pour ce qui est du propos liminaire, peut-être avons-nous des avis divergents sur l’hérédité et ce que nous sommes. Ces divergences sont au demeurant parfaitement légitimes. Pour moi, notre empreinte sur terre se limite, pour la quasi-totalité d’entre-nous, à deux ou trois générations. Je ne sais, en ce qui me concerne, consciemment rien de mes arrières grand-parents. Et cela ne me manque pas. Pour autant, nous devons bien entendu à nos aïeux, sans les connaître, une partie de ce que nous sommes. Cette transmission se fait certes en partie par les gènes, mais peut-être aussi et surtout par la manière dont les empreintes, individuelles et collectives, se sont moulées, avant de se déformer, pour le meilleur et pour le pire, sur leurs modèles. Une sorte d’épigenèse ancestrale en quelque sorte...
@Denis SOL
Merci beaucoup Denis pour votre agréable commentaire qui est d'autant plus précieux qu'ils se font rares.
Bonne journée
@Mila Desjardins 1
Une terrible histoire de souffrance des femmes sur plusieurs générations.
Une nouvelle poignante
Merci
Bonjour, vous êtes peut-être un tout nouveau membre monbestseller.
Ici, on échange, on discute, on s'entraide... bref, on s'intéresse !
Notre ami Cortex (auteur comme vous) vient de publier une tribune sur un sujet qui nous concerne tous : "Qu'est-ce qu'écrire ?"
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Voulez-vous nous dire ce que cela représente pour vous ?
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La page est celle-ci (lien dessous), Cortex répondra à tout le monde.
Merci d'être là, merci de participer.
https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire/20284-quest-ce-quecrire-une-nouvelle-tribune-sur-mbs-par-cortex
Bonne journée,
L'équipe mBS