Les mouvements de décentralisation des pays africains viennent remettre en cause la problématique du développement classique où ces pays neuf s’accordaient avec une centralisation accrue de l’Etat pour construire ce qui avaient été connu comme une planification du développement par le centre. L’affaiblissement des Etats issus des difficultés financières et au prise avec des populations qui demandent des services de développement de plus en plus importants du fait d’une démographie aussi importante commande aux Etats des mutations tant sur le plan politique qu’économique. Les problèmes de structure et de conjoncture conjointement posent le simulacre d’un pouvoir public qui doit se rapprocher du cadre local où justement, désormais les scénaris du développement doivent se déployer.
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