Quarante ans après une rupture déchirante avec la femme de sa vie, il décide enfin de briser le
silence. Il veut raconter, se justifier, peut-être se racheter.
De 1981 à 1984, il retrace son parcours chaotique vers la résilience. Une odyssée intérieure semée
d'amourettes éphémères, autant d’impulsions imprévu sur le chemin d’une stabilité . Ces femmes de
passage, qu’il nomme ses "anges gardiens", lui offriront tendresse et amour , avant de s’effacer pour
le laisser grandir.
Le récit débute entre les murs d'une clinique psychiatrique, passe par son villlage, avant de l’amener à Strasbourg, ultime escale où renaîtra en lui, enfin, le goût de vivre .Malgré une issue morbide.
Ce témoignage intime, il rend hommage à ces anges silencieux, et à celle qu’il n’a jamais cessé d'aimer!
Ce livre est noté par
je ne comprends pas votre prose qui est sencé donner un avis sur mon livre, mais en premier lieu ce n'est pas un témoignage mais une autobiographie. Pour eviter l'ennuis de ce genre littéraire je l'illustre avec de nombreux dialogues parfoi sarcastique. Ecrire une autobiographie est souvent apprécié uniquement par son autteur. Une litanie du quotidien ? La vie et les blessures sont souvent répétitive .J ai essayé de briser la montonie avec humour et bienveill.Enfin je ne raconte pas quelques semaines sur chez les coeurs .Il apparait que vous n'avez pas lu le livre en entier.
Je raconte une succession d'amour perdu , par handicap, manque de projection et aussi un décés.
C’est puissant, brut, cash. Mais, j’ai cherché la lumière, où nous amenez-vous ? j’ai besoin de savoir si cette prose toujours sur l’arête n’est pas seulement la litanie de ce quotidien déraciné ? Cette galerie de personnages femmes qui passent dont vous donnez les côtés les plus distrayants, à qui vous effacez tout ce qui pourrait ennuyer, lasser, souvent bien vu, ces dialogues au couteau, rendent plaisant cette lecture space. Mais ce n’est pas suffisant pour un livre classé en témoignage, je pense. Il faut percevoir, même entre les lignes, que vous ne racontez pas seulement quelques semaines chez les cœurs brisés, mais qu’il y a du sparadrap à portée de lignes.