L'homme du futur

Bonsoir Lodace,
- Pour répondre aux membres qui ont commenté, cliquer sur "ajouter un commentaire" et mettre l'arobas avant leur nom, comme ça : @lodace ; @Vanessa Michel...
-Je ne pense pas qu'il y ait une taille maximale autorisée (peut-être un poids par contre), concernant la publication des romans sur @monBestSeller (?), mais là, vous êtes en histoire courte, et c'est vrai que c'est logiquement limité.
Si vos romans sont vraiment trop volumineux, vous êtes libre d'en proposer deux tomes si vous souhaitez les partager.
Espérant avoir pu vous aider, bien cordialement.

Bien écrit dans un style souvent poétique et qui fait réfléchir. Je me demande à quoi ressemble le futur dont vient ce voyageur temporel et comment l'humanité s'en est sortie.

Superbe texte où la forme et le fond fusionnent d'une manière incroyable. Vivant, vibrant, virevoltant, on est comme aspiré par ce tourbillon de poésie et d'horreurs, cette ambivalence des déchéances et des effrois livrés pourtant avec tant de grâce, un peu de gouaille et beaucoup de beauté. Un grand merci à vous pour cette nouvelle profonde et singulière. Bien cordialement.

@lodace Une pluie de métaphores superbement trouvées, un élan de philosophie et de métaphysique. Brillant ! (j'aurais rangé le texte dans la catégorie "nouvelles" / quelques (très peu) métaphores trop usitées comme "un coup de massue sur le crâne" viennent troubler la forte originalité de l'ensemble)

La description du voyageur du futur fait froid dans le dos. D'une plume habile, l'auteur nous livre une silhouette énigmatique, un messager d'outre-temps. Cette même plume, libre, fait virevolter les mots, sans limite : elle balaie l'intrusion, d'un seul trait : le chaos ! La folie du monde saute aux yeux du voyageur. La plume s'en empare, et la transpose en fracture abyssale : celle de sa perception. La plume n'a pas de scrupule, elle balance sa putain de vérité : l'incompréhension. Lui vient du futur, la plume le saisit, le dissèque, l'éclaire sur nos aberrations, déclenche son dégout... Voilà, tout est écrit. Bravo à l'auteur. Et à sa plume indocile. Annie