Les mots sonnent juste, comme le glas au chevet d'une nuit sans repos.
Chère Alhéna, votre récit s'ouvre sur une mer qui gronde, appelant vers ses abysses. Quand tout s'effondre, la porte du désespoir de Manon s'entrouvre sur la tentation du vide. Heureusement, le destin veille...
La fin peut paraître abrupte, mais qu'importe : l'émotion est là, tenace, et elle ne lâche pas le lecteur.
Je vous embrasse chaleureusement,
Annie
Publié le 04 Décembre 2025