Régis aime la littérature et l'automne, les décibels et l'errance. Il n'a pas choisi le mal qui le ronge. Vivant la plupart du temps en lui-même, il perçoit une réalité déformée et angoissante, où tout fait sens. Dans sa psychose, il s'accroche à de fragiles repères : des personnages sans nom, des impressions sans fondement, des chansons sans espoir... Pourtant, peu de temps avant les attentats du 13 novembre 2015, le retour d'un mystérieux persécuteur va faire vaciller son équilibre précaire. Jusqu'au point de non-retour...
Dans ce premier roman sombre et nerveux, entre drame et thriller psychologique, l'auteur (lui-même soignant en psychiatrie) vous invite à une immersion au plus près d'âmes tourmentées, dangereuses, mais aussi profondément humaines.
www.amazon.fr/dp/1530061628
Ce livre est noté par
Deux mois pile aujourd'hui que "Régis" aiguillonne votre curiosité sur mBS et plus de 600 lecteurs pour les 50 pages d'extrait que je vous propose... Merci à tous, encore plus à ceux qui ont poussé l'expérience plus loin (le roman fait plus de 250 pages) et aussi à ceux qui ont pris le temps de laisser quelques mots (souvent pertinents et/ou flatteurs) !
Retrouvez l'article qui vous donnera envie de lire "Régis" de James Osmont, lu et critiqué par Olivier Sourisse dans le Face à Face d'auteurs du 20 avril. Bonne découverte et bonne lecture !
@Openlivre merci pour ce commentaire qui souligne avant tous les efforts de style plus que le fond, comme cela ferait plaisir à tout cinéaste de voir sa mise en scène complimentée et pas seulement l'intérêt de son scénario... ;)
@Hubert-P LETIERS merci pour ces mots à la fois admiratifs et lucides sur mon intention littéraire, et l'implication personnelle que j'ai essayé d'y mettre. Très touché. Reste à le faire savoir ! ;)
@Yannick Bacro merci pour ce commentaire en forme de métaphore automobile, effectivement si la route que je vous propose vous a plu jusque là, sachez qu'elle pourra vous mener vers de plus lointaines contrées, ne restez pas coincé au péage !
Prendre le volant ou prendre se plume, c’est la même chose, la route est longue et semée d’embûches. Je viens de démarrer ma vieille guimbarde, suivant mon petit bonhomme de chemin et je me fais doubler par de somptueuses limousines dont j’admire au passage les lignes racées et raffinées. La dernière qui est passée, à pleine vitesse, sirènes hurlantes, était déguisée en ambulance !!! Haute technologie, savoir faire, talent. Je fais une pause, je relis votre carte postale…. C’est encore loin, j’en ai de la route à faire !
@Martine Rombeau : Merci pour cet enthousiasme et ces compliments, le livre est sorti il y a un mois maintenant et dépend désormais en grande partie de "toutes les Martine", du bouche à oreille, des commentaires comme le vôtre sur amazon notamment, de votre volonté de le faire vivre car il vous appartient aussi un peu... Dure loi de l'autoédition, espérons que les éditeurs vous entendent ! ;)
Je viens de terminer votre roman sur Amazon. Je l'ai relu depuis le début, bien plus à l'aise sur ma tablette de lecture. Franchement, j'ai adoré. Les scènes décrites entre Régis et le personnel soignant, donnent parfois des frissons. Chapeau bas pour un premier roman, vous êtes doué.
J'espère vraiment que ce roman sera remarqué par un éditeur, il en vaut la peine. Je ne vous note pas une seconde fois, mais s'il y avait plus de cinq étoiles, ma note aurait suivi.
@ARFORD : aaah le fameux chapitre VIII... Mais vous n'avez encore rien lu ! ;)
@Martine Rombeau : merci pour vos encouragements et pour la poursuite de votre lecture via le ebook (1€), puissiez-vous vous perdre (mais pas trop !) dans la folie de Regis ! ;)
@fab : Merci beaucoup pour ces gentils mots qui ne se content pas d'être flatteurs, je vous sens sincèrement touché et authentique, merci pour Régis, faites le savoir, d'autoédition ne repose que la dessus ! ;)
@Dany b : Merci beaucoup, évidemment la viabilité d'un récit se fait souvent sur la première cinquantaine de pages : on lâche ou on finit à partir de la bien souvent... Ça me conforte donc sur un début qui serait plutôt réussi (même si j'ai le sentiment d'avoir écrit un crescendo) ;)
J'ai lu les 60 pages et mon ressenti se fait sur ceux-là uniquement! J'ai apprécié le personnage de Sandrine qui amène un peu de douceur et qui calme un peu la "lourdeur" de certains passages. Et régis qui nous replonge dans le tourbillon de ses tourments. C'est votre plume qui m'a fait continuer, ensuite le personnage de Sandrine. Puis on se prend à avoir de l'empathie pour Régis. Croyez-moi 60 pages peuvent être longues quand ça ne plait pas mais là, ce ne fut pas le cas.
@Sujay : Merci ! oui je le prends tout à fait comme un compliment ! "particulier, "humain", "dangereux", "fasciné", "folie", "réalité"... vous avez tout dit !
@Dany b : merci pour votre commentaire nuancé et que je sens très sincère, la sensation que régis vous a fait faire un genre de montagne russes entre attraction et répulsion, ça me touche beaucoup. Mais à vous lire, on dirait que vous avez lu le livre entier, pas seulement les 60 pages de l'extrait, non ?
@lys Meyer : c'est tout à fait mérité ;) je n'avais pas encore fini mais du coup j'ai d'ores et déjà laissé un commentaire !
@Thomas LAMBERT : merci bcp pour ces gentils mots ! Mais vous n'avez encore rien vu/lu !... ;)
@David Slt : merci pour ces mots encourageants !
Contrat rempli ! "une immersion au plus près d'âmes tourmentées", c'est tout à fait ça : on est DANS la tête de Régis et c'est assez formidable. C'est fin et violent, aussi intriguant que la couverture ! Je fonce sur la suite ! ;)
@lamish : hey merci beaucoup pour ce commentaire. Waouh, pour un premier ça fait chaud au coeur, ce n'est jamais simple de se dévoiler dans un premier roman, il y a beaucoup de moi dedans, on se met à poil, vous connaissez ça. Oui de la crédibilité et de la poésie dans la description de la folie, voilà un peu mes deux leitmotiv, souvent déçu comme vous par la trivialité et la superficialité de l'évocation du trouble mental dans la littérature de suspense/thriller/polar... Et en même temps il faut en faire une histoire, des rebondissements et maintenir en haleine... Votre réaction me conforte dans l'idée que j'y suis un peu parvenu et que cet extrait peut donner envie de vouloir finir le livre ! ;)