Récit inattendu, je serais curieux de savoir ce qui vous y a amené. Votre réponse au commentaire laconique est éloquente, oui les conséquences d’une guerre se poursuivent longtemps, plus près de nous par exemple, on en a parlé il y a peu avec les harkis. J’ai trouvé l’angle de votre récit interpellant (même si je n’aime pas ce mot !). Merci pour ce partage.

Bravo, magnifique, et formidablement passionnant. Qu’on soit afficionado de l’œuvre de Chagall, ou pas. Je croyais la connaitre (un peu), j’ai appris mille choses. Mais surtout, ce que j’ai évidemment apprécié au plus haut point, c’est le sens que vous donnez à ses œuvres, les perspectives, les remises dans le contexte, une leçon de musique… et de culture. Bravo. Merci.

J’aime ce genre d’histoires où on largue les amarres et bizarre, même si c’est bien sûr toujours un peu la même chanson, je suis toujours bluffé par ce qui amène à une telle décision, bluffé de voir le chemin emprunté pour y arriver. Et aussi, of course, la vie qui va avec, comment la famille vit cette expérience qu’ils savent unique. Vous avez la plume facile, ça glisse et vous lire a été un plaisir. Bravo pour l’audace et les souvenirs emmagasinés pour la vie.

Souvenirs souvenirs, vous avez l’observation affutée, et je ne sais pas vraiment si vous hésitez entre l’humour du décalage ou l’acrimonie de la gabegie ! C’est vrai que ça fait vieux schnok tout ça, ça m’a rappelé la période, mais je ne crois pas que j’aurais été capable d’avoir ni votre mémoire ni l’esprit. Bravo, j’ai bien rigolé jaune en imaginant toutes ces scènes vécues.

C’est étouffant à lire cette histoire. Faut avoir le cœur accroché devant tant de violence, de barbarie. Et de courage. Comme les précédents commentaires le disent, vous racontez ce récit de telle manière que non seulement vous êtes celui qui a vécu ces atrocités, mais on est dans vos pieds, tant votre écriture est réaliste, visuelle. C’est une sacrée réussite d’être arrivée à vous effacer derrière la vie de votre grand-père, d’avoir écrit comme il aurait pu. Cela demande certainement beaucoup de travail et de respect. Et d’admiration de votre famille. Bravo. Et merci d’avoir apporté ce témoignage.