Je vous ai découvert grâce à votre poème « Troubadour » qui m’a plongé dans une telle profondeur que je suis demeuré sidéré après sa lecture. Je n’ai alors eu qu'une envie : lire autre chose de vous. Cette curiosité littéraire m’a conduit à ce texte autobiographique. N’ayant plus le temps pour mBS, la lecture de vos 50 pages m’a pris cinq nuits. Chacune fut un enseignement, une révélation, une douche de lumière. J’ai ressenti vos doutes, vos fuites, mais aussi votre force intérieure. Même les petits détails, en apparence anodins, sont portés par une subtilité remarquable. Merci pour ce témoignage, un véritable coffre à trésor. Mon souhait est qu’il ne s’enfouisse pas trop vite dans ma bibliothèque, car votre écriture correspond trop à mon goût. Je lirai vos essais, convaincu que je n’en sortirai pas indemne. Bises !

Il n’y a pas de meilleure façon de commencer un texte qu'avec une atmosphère positive, où la neige, dans sa beauté éphémère, nous incite à apprécier le pur présent. L'acte de dessiner un cœur nous connecte alors à la nature et à nos émotions les plus simples… — Concernant le début du deuxième paragraphe, était-il écrit sur un ton humoristique ? J’ai été saisi d’un fou rire et j’en souris encore… — J’ai beaucoup aimé la dernière phrase du texte, car elle m’a donné envie de le relire, cette fois sous un angle résolument « symbolique ». Dans l’attente de découvrir à nouveau votre finesse littéraire, Portez-vous bien.

Bonjour Junain, - J’ai découvert votre livre grâce à votre annonce Instagram, et je viens tout juste de terminer sa lecture. Quel plaisir de vous lire ! On s’arrête sur une phrase pour sourire, pour réfléchir, on se laisse emporter par cette tonalité particulière, à la fois mélancolique, parfois cynique, et souvent tendre. - Cette phrase m’est restée : « Le pardon, c’est parfois un manque de motivation pour la haine. » Elle est pleine, si juste… Elle habite la mémoire longtemps après avoir refermé le livre. - Bien cordialement.

J'apprécie votre écriture, élégante et pure. On est accroché dès la première phrase et l'on n'a pas envie de s'arrêter de déguster vos délicieux textes. - J'aurais également classé ces nouvelles comme vous l'avez fait, car, sans doute, « Ça ne mange pas de pain » est ma préférée. - Merci de me l'avoir fait découvrir. J’ai hâte de lire votre prochaine nouvelle sur la force de la candeur animale. - Bien cordialement.

Bonjour, Je suis littéralement touché par la profondeur de ce texte. On sent que chaque mot a été soigneusement choisi, et qu’il faut une certaine profondeur d’âme pour s’y connecter.