Chère Floriana,
C'est un merci ému qui répond en écho à la poésie et à la douceur de votre commentaire.
Je suis très touchée et honorée par ce si beau retour. Bien à vous et à très bientôt @Floriana Vélasquez
Merci à vos mots clandestins, aux paroles condamnées à se taire, à la musicalité céleste et rude d'un chagrin retenu, aux dates meurtrières...
Merci de nous aider à franchir le seuil, à traverser le deuil comme on survit à une très longue nuit, grâce aux fragments orphelins d'une poésie stellaire.
Je vous remercie chaleureusement @Sylvie de Tauriac, pour votre retour uni à de jolis cœurs. Il me touche beaucoup. Bonne soirée à vous, bien cordialement.
Bonsoir @JOHANNELLE,
Un grand merci pour votre commentaire assorti de jolis cœurs.
Je comprends vos impressions concernant la fluidité. Je pense qu'elle sera sans doute plus mise en avant dans la seconde partie du travail, le prochain polaroïd qui aura pris son temps et se nourrira d'autres objectifs « littéraires ». J'ignore si je le publierai, mais il est en projet ;-)
Encore toutes mes félicitations pour la mise en avant de votre recueil !
Bien cordialement.
L'absence dans son 'éternité, la nostalgie, les espoirs et toute la beauté naturelle qui continue à vibrer cependant... dans l'Histoire. Beaucoup d'images et de symboles traversent votre écrit et l'enrichissent dans une certaine densité. C'est beau.
A mon goût, il manquerait juste un peu de fluidité dans la lecture mais très perso. A bientôt !
Merci beaucoup Christian, pour ce retour élogieux. Le texte est clivant, mais s'il parvient à toucher quelques âmes, j'en suis honorée.
Quant à la synchronicité de ta photo, que je découvre, avec ce commentaire, elle est quasiment sublime...
Belle journée et vraiment : un grand merci @Christian Vogel
C'est très poétique et toute personne traversant une période de deuil reconnaîtra l'exactitude du texte et la justesse des émotions qui s'en dégage. Un coup de maître en moins d'une dizaine de pages!
Tout d'abord, Laurent, un grand merci à toi pour ce retour à la fois exhaustif et bienveillant, uni à de jolis cœurs.
En fait, j'ai conservé une « routine » des beaux-arts qui va forcément te parler : celle des « règles du jeu ». Chacune des mes propositions a des objectifs différents et bien précis. Pour Le Seuil, le postulat était simple : un polaroïd des 7 premiers jours de deuil, volontairement resserré, avec « interdiction » de retouches par la suite. Une photographie sur le vif, où le gardien reste encore un peu en vie, parce que généralement les deuils sont écrits, inscrits après le passage du temps.
(...).
Ce travail reste à part, et quant à la prose poétique, je souhaite vraiment la rendre concomitante à la narration, aux portraits. Je dois creuser pour ça du côté des Dernières pensées… et travailler, travailler, travailler. Merci encore. Bises et à bientôt @carpov
Bonjour @Vanessa Michel,
Tu livres une fois de plus un texte dense, qu'il faut lire avec soin, en prenant le temps de se laisser emporter dans une musicalité qui t'est propre. On sent beaucoup d'émotions, mais elle reste contenue, bridée en quelques sortes par ta volonté de construire quelque chose de beau. Tu suis la voie que tu t'es tracée, celle prometteuse d'une prose poétique, intense et chargée. Dans le genre, je trouve cela réussi, même si je te préférais plus narrative, même si j'appréciais davantage quand tu instillais ta poésie au détour d'une phrase innocente, l'air de rien, et que tu semblais pépier, perchée sur un cèdre, la vitalité et la joie. Ce texte te drape dans une profondeur et une solennité qui me surprend presque, et pour cela, je te félicite. Que demander de plus à un auteur?
J'espérais que ce récit puisse parler à l'âme et au cœur, sans doute plus qu'à l'esprit, aussi je suis émue qu'il ait pu vous toucher. Un grand merci pour votre retour et les jolis cœurs @François_machon.
Bonjour,
Je suis littéralement touché par la profondeur de ce texte. On sent que chaque mot a été soigneusement choisi, et qu’il faut une certaine profondeur d’âme pour s’y connecter.
Un grand merci, cher Robert, pour votre lecture, les jolis cœurs et votre commentaire.
Il résume ce que j'ai souhaité faire, aussi parce que la nature est un sage. Elle nous dit et délivre, au sein même de son foisonnement d'existences et de disparitions, bien plus que ce que nous ne saurons jamais... Bien amicalement.
Un hommage sous forme de poème en prose, accolant des vignettes qui restituent des éclairs de nature à la manière des haïkus. La mort et la vie s'y rejoignent, infiniment enlacées. C'est beau et émouvant.
Merci infiniment, cher Cortex, d'avoir saisi cette volonté de rester dans l'indechiffrable et l'inaccessible, le temps d'un présent que j'ai souhaité court, brut et sur le vif, ce temps du refus et de la sidération.
Sept jours où j'ai gardé vivant le gardien dans ma vie, ma peinture et mes promenades, alors que s'abattait un véritable hiver inattendu, sept jours de pluie et de froid, avant d'accepter, bien sûr, de devoir le laisser partir.
Difficile de faire l'hommage de celui qui n'aurait pas aimé qu'on parle "clairement" de lui, ni qu'on livre son nom ;-) J'ai essayé de transmettre sa présence dans son absence tout en respectant ses pudeurs.
Je vous remercie encore pour votre retour sensible et bienveillant.
Bonne journée à vous @Cortex
@Vanessa Michel Un texte qui débute par une descente sombre et magnifique (de la cathédrale) puis se termine par une montée lumineuse et éternelle. Entre les deux, le refus de laisser partir, d'être sur le seuil, l'espoir de croire que le vivant transmet, le vivant ou le mort, mais qu'il y a un après. Avec cette communion toujours avec la nature, ce regard aussi sur la nature au même destin, car on y meurt, et on y fait trop attention. C'est un texte qu'il n'est pas vraiment possible de commenter, car c'est un recueillement, une énorme émotion qui ne peut être analysée ou jugée, une émotion qui impose le silence. C'est un très bel hommage que vous venez de rendre à votre frère de cœur, et même si le printemps prochain, vous vous surprenez à sourire sur un de ces chemins, ne croyez pas qu'il s'agisse d'indécence, mais d'une pensée furtive et bien ancrée que votre ami ne vous a pas lâchée. Belle journée, Vanessa Michel
Merci infiniment, chère Michèle, pour ta lecture, ton passage, tes jolis cœurs et tes pensées.
@Comte de Clermont est bien celui qui commentait mes mises en lignes. C'était l'un de mes deux meilleurs amis.
Prends bien soin de toi et à très vite ! Bises et bon week-end @Zoé Florent
@Vanessa Michel Florilège d'images et de pensées dédiées à la mémoire de @Comte de Clermont, de gardien devenu compagnon de tombe... Est.ce la même personne qui a commenté certaines de tes mises en ligne ? Peu importe. Je souhaite paix à son âme et courage à toi, qui doit affronter ce deuil. /// "Qui passe le flambeau ?" Les morts le passent aux vivants qui à leur tour le passeront et entretiendront le feu de la mémoire de ceux qu'il ne faudrait jamais oublier. /// Merci pour ce partage poétique, évanescent et plein de mystère, chère Vanessa.. Bises et beau week-end, Michèle
Publié le 04 Octobre 2025
Vanessa Michel
Biographie
Peintre & écrivaine.
Thèmes de recherche : poésie, lumière, beauté & subjectivité.
Ce livre est noté par
Mais merci à vous @Jean-Claude Singla, pour votre retour et les jolis cœurs.
Bonne soirée.
Chère Floriana,
C'est un merci ému qui répond en écho à la poésie et à la douceur de votre commentaire.
Je suis très touchée et honorée par ce si beau retour. Bien à vous et à très bientôt @Floriana Vélasquez
Merci à vos mots clandestins, aux paroles condamnées à se taire, à la musicalité céleste et rude d'un chagrin retenu, aux dates meurtrières...
Merci de nous aider à franchir le seuil, à traverser le deuil comme on survit à une très longue nuit, grâce aux fragments orphelins d'une poésie stellaire.
Bien à vous
Merci Bruno, je suis heureuse qu'il ait pu résonner un peu avec ta poésie intime.
À bientôt @La team Bruno Bonheur.
Je vous remercie chaleureusement @Sylvie de Tauriac, pour votre retour uni à de jolis cœurs. Il me touche beaucoup. Bonne soirée à vous, bien cordialement.
Bonsoir @JOHANNELLE,
Un grand merci pour votre commentaire assorti de jolis cœurs.
Je comprends vos impressions concernant la fluidité. Je pense qu'elle sera sans doute plus mise en avant dans la seconde partie du travail, le prochain polaroïd qui aura pris son temps et se nourrira d'autres objectifs « littéraires ». J'ignore si je le publierai, mais il est en projet ;-)
Encore toutes mes félicitations pour la mise en avant de votre recueil !
Bien cordialement.
L'absence dans son 'éternité, la nostalgie, les espoirs et toute la beauté naturelle qui continue à vibrer cependant... dans l'Histoire. Beaucoup d'images et de symboles traversent votre écrit et l'enrichissent dans une certaine densité. C'est beau.
A mon goût, il manquerait juste un peu de fluidité dans la lecture mais très perso. A bientôt !
Merci beaucoup Christian, pour ce retour élogieux. Le texte est clivant, mais s'il parvient à toucher quelques âmes, j'en suis honorée.
Quant à la synchronicité de ta photo, que je découvre, avec ce commentaire, elle est quasiment sublime...
Belle journée et vraiment : un grand merci @Christian Vogel
Tout d'abord, Laurent, un grand merci à toi pour ce retour à la fois exhaustif et bienveillant, uni à de jolis cœurs.
En fait, j'ai conservé une « routine » des beaux-arts qui va forcément te parler : celle des « règles du jeu ». Chacune des mes propositions a des objectifs différents et bien précis. Pour Le Seuil, le postulat était simple : un polaroïd des 7 premiers jours de deuil, volontairement resserré, avec « interdiction » de retouches par la suite. Une photographie sur le vif, où le gardien reste encore un peu en vie, parce que généralement les deuils sont écrits, inscrits après le passage du temps.
(...).
Ce travail reste à part, et quant à la prose poétique, je souhaite vraiment la rendre concomitante à la narration, aux portraits. Je dois creuser pour ça du côté des Dernières pensées… et travailler, travailler, travailler. Merci encore. Bises et à bientôt @carpov
J'espérais que ce récit puisse parler à l'âme et au cœur, sans doute plus qu'à l'esprit, aussi je suis émue qu'il ait pu vous toucher. Un grand merci pour votre retour et les jolis cœurs @François_machon.
Un grand merci, cher Robert, pour votre lecture, les jolis cœurs et votre commentaire.
Il résume ce que j'ai souhaité faire, aussi parce que la nature est un sage. Elle nous dit et délivre, au sein même de son foisonnement d'existences et de disparitions, bien plus que ce que nous ne saurons jamais... Bien amicalement.
Merci infiniment, cher Cortex, d'avoir saisi cette volonté de rester dans l'indechiffrable et l'inaccessible, le temps d'un présent que j'ai souhaité court, brut et sur le vif, ce temps du refus et de la sidération.
Sept jours où j'ai gardé vivant le gardien dans ma vie, ma peinture et mes promenades, alors que s'abattait un véritable hiver inattendu, sept jours de pluie et de froid, avant d'accepter, bien sûr, de devoir le laisser partir.
Difficile de faire l'hommage de celui qui n'aurait pas aimé qu'on parle "clairement" de lui, ni qu'on livre son nom ;-) J'ai essayé de transmettre sa présence dans son absence tout en respectant ses pudeurs.
Je vous remercie encore pour votre retour sensible et bienveillant.
Bonne journée à vous @Cortex
Merci infiniment, chère Michèle, pour ta lecture, ton passage, tes jolis cœurs et tes pensées.
@Comte de Clermont est bien celui qui commentait mes mises en lignes. C'était l'un de mes deux meilleurs amis.
Prends bien soin de toi et à très vite ! Bises et bon week-end @Zoé Florent