C'est amusant comme l'opium, grâce à nos illustres poètes et écrivains des deux derniers siècle, a une espèce d'aura mystique. Même le mot est plaisant (en même temps il renvoie à une chose qu'on suppose plaisante - je n'ai pas essayé hein :-) ), et pourtant, des vies se sont noyées dedans pour noyer leur chagrin. C'est toujours le même problème au fond: le remède est-il pire que le mal ? Quoiqu'il en soit, le poème est joli et invite à la rêverie.
Publié le 28 Septembre 2015