Il y a des histoires qui sortent des tripes, qui invitent à l’empathie. C’est le cas de la votre, sans aucun doute. Et j’imagine que de l’avoir écrite a eu un double bénéfice : la libération et le plaisir de l’écriture. Bienvenue dans votre nouvelle vie !

Votre récit m’a fait penser à cette ancienne chanson de Voulzy, « Belle Île en mer » et son « sentiment de solitude et d’isolement » qui se lit comme le temps qui passe. Parfois lentement. Comme votre drôle de croisière, pleine d’observations sensibles. Ecrite avec subtilité. Presque inachevée. Bravo pour votre plume et merci pour ce partage.

Quelle chance que votre profession vous laisse l’envie de concocter des petites contes comme celui-ci, j’imagine pour vos enfants d’abord. En tout cas, je le mets dans ma collection d’histoires à raconter le soir. Merci pour ce partage très gai.

Vous faites référence, à juste titre, à Downton Abbey. L’Angleterre. L’époque. La vie de château. Les robes de soirée. Le casting parfait… Cela dit une des réussites, c’est le rythme. Peut-être est-ce là que votre beau Violet Templeton pourrait gagner un peu ? Plus virevoltant. Plus sans baisse de rythme. Avec toujours un rebond, qui fait qu’on ne va pas retrouver la page d’après juste la suite un peu répétée de la page d’avant. Cela dit, c’est un bel univers dans lequel vous nous conviez. Très plaisant.

Votre récit, c’est presque un compte rendu minutieux. De la vie qui a changé, des sentiments qui passent, des destins contrariés. Belle observation. Et belle traduction de votre bocage de cocagne qui donne envie d’y aller faire un tour pour partager.