@Fernand Fallou
Toujours l'esprit prêt à traquer les singularités, Cher Fernand. Cette fois on sent la facétie à plein nez. S'il n'est un biloute, ce Jacques le péteur aurait toute sa place au pays des ventres à choux, voire de la mogette. Aussi la belle de ces lieux épargnée du kissnot mais non d'un covid bienvenu pour elle, s'apercevra-t-elle, une fois guérie, que son Jacques, finalement, est un drôle de Coco.
Bien à vous.
@Brigitte Deleruelle
Le récit que vous nous faites de cette Dame Blanche sortant du brouillard n'est pas l'oeuvre d'un cerveau embrouillé. La douceur qui en émane au fil des pages est reposante et incite à en poursuivre la lecture.
Bravo Brigitte!
@Brigitte Deleruelle
Les pouvoirs de la porte sont tels qu'ils libèrent votre imagination et la projettent dans le fantastique pour le plus grand plaisir du lecteur. Aussi de la voir partir dans d'autres mains a dû être pour vous un crève coeur. Pouvait-il en être autrement? Sinon, vous et votre jeune ami en auriez pu subir des horions. Bravo Brigitte.
@Brigitte Deleruelle. Un commissaire qui face à un inculpé reçoit des explications aussi farfelues est en droit de vouloir lui envoyer des tartes. Grand bien lui fasse de se contenir et au contraire de prendre note de ses déclarations. Un rôle inversé et jubilatoire dans l'art de se mettre à table. Bravo Brigitte!
@Damian Jade
Voilà plusieurs jours que j'ai lu votre nouvelle avec l'envie d'y répondre. Je n'ai pu m'y résoudre tant me manquait l'angle d'inspiration. Car vous avez tout pris, tant dans le texte que dans le titre. Splendide! Ce mot qui tel un pinceau n'appartient qu'au maître.
Félicitations Damian.
@Alice Molero
Vous nous emmenez à 200 à l'heure dans une histoire fouillée et intéressante à suivre jusqu'à ce qu'on décroche après l'accident mortel de la conductrice. Votre fin en subit le traumatisme et c'est dommage.
Bien à vous.
@Fernand Fallou
Au matin de Noël, avez-vous trouvé, cher Fernand, chaussure à votre pied sous le sapin? Je gage que Père Noël aura eu du mal à dégoter l'objet de vos désirs, tant la liste de vos desiderata que vous lui adressez dans votre lettre me semble tenir du Bottin. Y farfouiller pour vous satisfaire équivaut à chercher une aiguille dans une meule de foin. Le monde n'est plus ce qu'il était mon bon Monsieur. Ainsi en va-t-il au fil du temps des moeurs et même du beau sexe idoine au beau teint.
Bien à vous.
@René Sauvage
Merci pour vos remarques élogieuses. Elles me confortent dans l'intention qui est mienne de transcrire la pensée en des clichés qui mis bout à bout constituent une histoire. Ces Brumes sont donc dans un esprit tout autre que celui potache qui animait Fougueux le renne fugueur paru sur ce même site. Je vous souhaite de prendre beaucoup de plaisir à cette lecture.
Vous les racontez très bien ces brumes d’Ouest, c’est bien observé. Comme des polaroïd, des moments pris sur le vif, en faisant presque abstraction de ce qui les entoure. Et c’est cette façon d’isoler des détails, de dire des choses presque banales qui rend le moment très imagé, comme si on le voyait. Je vous souhaite encore plein d’histoires à conter.
Publié le 01 Janvier 2020
lereverdy
Biographie
Ouvrier du Livre. Autodidacte. J'ai été primé lors d'un concours de Nouvelles. "Fougueux le renne fugueur" et "Le coup du...
Ce livre est noté par
@Fernand Fallou
Toujours l'esprit prêt à traquer les singularités, Cher Fernand. Cette fois on sent la facétie à plein nez. S'il n'est un biloute, ce Jacques le péteur aurait toute sa place au pays des ventres à choux, voire de la mogette. Aussi la belle de ces lieux épargnée du kissnot mais non d'un covid bienvenu pour elle, s'apercevra-t-elle, une fois guérie, que son Jacques, finalement, est un drôle de Coco.
Bien à vous.
@Brigitte Deleruelle
Le récit que vous nous faites de cette Dame Blanche sortant du brouillard n'est pas l'oeuvre d'un cerveau embrouillé. La douceur qui en émane au fil des pages est reposante et incite à en poursuivre la lecture.
Bravo Brigitte!
@Brigitte Deleruelle
Les pouvoirs de la porte sont tels qu'ils libèrent votre imagination et la projettent dans le fantastique pour le plus grand plaisir du lecteur. Aussi de la voir partir dans d'autres mains a dû être pour vous un crève coeur. Pouvait-il en être autrement? Sinon, vous et votre jeune ami en auriez pu subir des horions. Bravo Brigitte.
@Brigitte Deleruelle. Un commissaire qui face à un inculpé reçoit des explications aussi farfelues est en droit de vouloir lui envoyer des tartes. Grand bien lui fasse de se contenir et au contraire de prendre note de ses déclarations. Un rôle inversé et jubilatoire dans l'art de se mettre à table. Bravo Brigitte!
@Damian Jade
Voilà plusieurs jours que j'ai lu votre nouvelle avec l'envie d'y répondre. Je n'ai pu m'y résoudre tant me manquait l'angle d'inspiration. Car vous avez tout pris, tant dans le texte que dans le titre. Splendide! Ce mot qui tel un pinceau n'appartient qu'au maître.
Félicitations Damian.
@Alice Molero
Vous nous emmenez à 200 à l'heure dans une histoire fouillée et intéressante à suivre jusqu'à ce qu'on décroche après l'accident mortel de la conductrice. Votre fin en subit le traumatisme et c'est dommage.
Bien à vous.
@Fernand Fallou
Au matin de Noël, avez-vous trouvé, cher Fernand, chaussure à votre pied sous le sapin? Je gage que Père Noël aura eu du mal à dégoter l'objet de vos désirs, tant la liste de vos desiderata que vous lui adressez dans votre lettre me semble tenir du Bottin. Y farfouiller pour vous satisfaire équivaut à chercher une aiguille dans une meule de foin. Le monde n'est plus ce qu'il était mon bon Monsieur. Ainsi en va-t-il au fil du temps des moeurs et même du beau sexe idoine au beau teint.
Bien à vous.
@René Sauvage
Merci pour vos remarques élogieuses. Elles me confortent dans l'intention qui est mienne de transcrire la pensée en des clichés qui mis bout à bout constituent une histoire. Ces Brumes sont donc dans un esprit tout autre que celui potache qui animait Fougueux le renne fugueur paru sur ce même site. Je vous souhaite de prendre beaucoup de plaisir à cette lecture.
Vous les racontez très bien ces brumes d’Ouest, c’est bien observé. Comme des polaroïd, des moments pris sur le vif, en faisant presque abstraction de ce qui les entoure. Et c’est cette façon d’isoler des détails, de dire des choses presque banales qui rend le moment très imagé, comme si on le voyait. Je vous souhaite encore plein d’histoires à conter.