Une étrange amitié lie Zacharia et Samir. Zacharia ne pense qu'à venir en aide à son ami qui, lui, projette de le tuer. Un évènement tragique, il y a des années, a ruiné la vie de Samir et sa famille, et une haine inextinguible s'est cristallisée dans son cœur. D'un seul coup, l'idée d'assassiner Zacharia, un beau jeune homme pétri de qualités, s'est imposée à lui comme l'unique moyen d'assouvir sa vengeance.
Ce roman, qui est aussi une très belle histoire d’amour, nous promène, au gré de ses rebondissements, d'Alger à la montagne mythique de Chréa, et de Constantine à Jijel, la charmante ville côtière à l'est de l'Algérie. Tout au long de ce périple, le lecteur sera surpris de découvrir un pays qui, quoique très proche, est parmi les plus méconnus de la planète.
Ce livre est noté par
Bonjour, @Jihel et merci pour vos remarques au sujet de mon style. Elles viennent, j'en suis certain, d'une intention louable. Malheureusement, vous n'avez pu lire qu'une vingtaine de pages, comme vous dites, ce qui représente peu de choses dans un roman qui en compte environ trois cents. A mon avis, il est donc difficile de s'en faire une opinion sans risquer de se tromper. A propos des verbes comme " faire " et " avoir ", vous prêchez un converti. Je n'en ai jamais été adepte, quoique je n'en sois pas non plus un ennemi acharné. Je trouve que parfois ils ont encore leur place dans un texte sans que leur emploi ne soit déshonorant. C'est comme pour le verbe introducteur " dire " qui a mauvaise réputation dans un dialogue alors qu'il est souvent indispensable quand il s'agit d'une réplique neutre. En fait, j'ai pensé " Une vengeance en héritage " presque comme un roman policier, d'où cette écriture sobre, sans termes ronflants, presqu'à minima. Que puis-je vous répondre d'autre ? Ceci : si vous lisez seulement les deux premières pages de mes romans " Jeunes âmes brûlées " et " Un bien curieux mariage ", il est très possible que ayez une tout autre idée de ma manière d'écrire. C'est une question de sujet : certains sont propres au lyrisme et d'autres à la retenue. Encore une fois merci Jihel pour votre commentaire et bonne année !
Bonjour, je ne dispose malheureusement pas du temps pour faire une lecture complète et, comme je l'ai expliqué par ailleurs, j'ai - de plus, des difficultés avec des lectures écran trop longues.
J'ai néanmoins lu une vingtaine de pages pour avoir une idée du style et de l'approche narrative.
Concernant le style, c'est fluide et ça se lit bien. Je conseillerais peut-être juste d'éviter le plus possible les verbes "couteau-suisse" (faire, avoir etc...) pour l'enrichir un peu en employant des verbes plus précis chaque fois que possible. Ceci étant, c'est une manie personnelle peut-être excessive !
Sur le fond, je l'ai dit, le pitch semble intéressant mais j'ai trouvé la construction perfectible. Je veux dire que dans l'approche, la scène de l'agression et l'intervention de Samir mais aussi celle qui suit peu après (le bus qui n'arrive pas) m'ont semblé posées avec une mise en scène et une contextualisation un peu trop dépouillée.
Je me dépêche de pondérer ces deux remarques en soulignant une nouvelle fois que je n'ai fait qu'effleurer le début de votre texte et que, par ailleurs, chaque lecteur arrive avec ses propres attendus. Mon commentaire ne se veut donc pas un "jugement" mais plutôt deux pistes de réflexion qu'il vous appartiendra de creuser... ou non !
Bien cordialement
Bonjour @Jihel ! Heureux d'apprendre que vous vous êtes intéressé à mon livre ! Je viens à l'instant de le réactiver. N'oubliez pas de m'envoyer votre commentaire quand vous l'aurez lu. Ça me ferait plaisir.
Ah mince, je voulais jeter un coup d'oeil à votre oeuvre mais la lecture est désactivée.
Dommage, le pitch est intéressant et le commentaire de @LAULAULA très motivant...
Merci @LAULAULA pour votre agréable commentaire que j'ai lu avec beaucoup de plaisir. A propos de votre remarque au sujet des descriptions qui vous ont laissée un peu sur votre faim, leur faible nombre est dû probablement à cette peur que j'ai d'ennuyer le lecteur. A moins que ce soit parce que mes personnages m'ont tellement accaparé qu'il m'ont fait oublier le décor. Ceci dit, il est très difficile de trouver le juste milieu et éviter de donner une impression de carte postale (un travers dans lequel je tomberai facilement si je me laisse aller à mon enthousiasme pour ce pays). Merci en tout cas pour votre gentil retour et bonne journée !
Je suis content@unpetit50 que mon livre vous ait plu et je vous remercie pour votre gentil commentaire. Vous me dites que vous y avez trouvé du Capulet et Montaigu. Mais ne pensez-vous pas qu'il y a aussi du Rodrigue et Chimène ?