Jules, jeune poète talentueux, rêve de gloire littéraire malgré les devoirs familiaux qui l’entravent. Une tragédie le pousse définitivement vers l’écriture, unique refuge pour honorer ses disparus. À Paris, il découvre une réalité cruelle : ses vers restent ignorés, et il sombre dans l’alcool et le désespoir. Mais dans la misère et la violence des rues, il trouve une nouvelle inspiration. Sa rencontre avec Rose, comédienne lumineuse, ranime sa passion et bouleverse ses certitudes. Déchiré entre l’amour et l’art, Jules se confronte à un dilemme tragique : choisir le bonheur intime au prix de l’oubli ou sacrifier l’amour pour la gloire éternelle.
Ce livre est noté par
@unpetit50 Merci beaucoup pour votre lecture attentive et pour votre retour, qui m’a beaucoup touché. Votre remarque me réjouit, car l’une de mes ambitions était justement de rendre hommage aux écrivains du XIXᵉ siècle et à leurs tragédies (Balzac, Zola, Maupassant…).
Concernant les poèmes, je suis heureux que vous les ayez remarqués. Leur écriture m’a demandé un véritable travail de rythme, de rime et de cohérence. J’en suis fier : une dizaine figure dans le roman, certains volontairement plus simples ou naïfs, pour mieux servir l’histoire. C’est pourquoi qualifier l’ensemble ainsi me semble un peu réducteur par rapport au soin qu’ils ont exigé mais je tâcherai bien sûr de m'améliorer. Encore une fois, merci sincèrement pour votre lecture et pour l’attention que vous avez portée à mon travail.
Quel étonnant univers, suranné, à tous points de vue, la forme, très écrite, ces descriptions un peu d’un autre temps, et le fond, les descriptions, encore, d’une observation clinique, les relations entre les personnages, l’aimée, le père, avec cette distance qu’on verrait plus dans les romans du XIX°, et les poèmes, simples, presque naïfs. J’ai été curieuse à la lecture de votre résumé, et étonnée par cette histoire.
@Élodie Nectoux Un immense merci pour ces mots qui me touchent ! Je suis heureux que ce voyage vous ait emporté et d’avoir réussi à mêler roman et poésie de façon à vous captiver. Votre retour me donne une belle énergie pour la suite !
@David Mangin. Ravi de voir que ce premier roman vous a plu, et merci pour vos remarques. Je prends en compte chaque retour pour continuer à m’améliorer et avancer dans mon écriture. Votre lecture et vos mots me sont très précieux. Un immense merci !
@Élodie Nectoux
Bien que je ne comprenne pas entièrement votre aversion pour les porcs (j'en ai connu de très biens, qui portaient magnifiquement la cravate), et en particulier pour leur vessie (laquelle, je vous le rappelle, est un organe très utile), je trouve tout à fait louable votre défense de la poésie (j'imagine qu'elle frétille d'aise dans le tombeau où elle gît). Toutefois, permettez-moi de vous signaler qu'il n'est pas très glorieux ni très chrétien de s'en prendre aux gens en se moquant de leur patronyme ; tous les MM. Crétin, Connard, Bittembois et autres qui peuplent l'état civil ne viendront pas prétendre le contraire. Au reste, remarquez que, pour ma part, je ne me gausse pas de votre nom de famille, ce qui aurait pourtant été facile puisque "nectoux" est la traduction en brodouloche de "grosse vache impie". Non, je ne cède pas à cette facilité indigne, pas plus que je n’essaierai de défendre l'honneur de ma famille, qui doit son nom à un lointain ancêtre qui fut en son temps le roi de la frite - ce qui n'est pas un déshonneur.
Bien à vous.
PS : Une seule chose à votre actif : vous avez parfaitement raison de dénoncer mon inculture. En effet, le peu de culture que je possédais encore, je l'ai récemment échangé (à la suite de circonstances qu'il serait trop long de détailler ici) contre un démonte-pneu dont j'avais alors un pressant besoin. De fait, ça m'a sauvé la vie.
@Julien Jacques
Ce livre m'a fait voyager dans un Paris d'un autre temps avec rêverie, profondeur et surprise.
Je l'ai englouti en mois de 24h, bravo pour ce challenge de mélanger roman et poésie!
@Yolanda Potatoe 4
Esprit éclairé ! vous avez bien raison de fuir la poésie, avec un tel pseudo.
"Ce machin", comme vous dites si brillamment, me semble une critique digne des plus grands penseurs du XXIe siècle ! Après tout, pourquoi perdre son temps dans les vers, quand on peut se vautrer joyeusement dans le vide du quotien? À critiquer tous les livres sans les lire et de fait, sans culture...
Quant à votre image du préservatif en vessie de porc… Ah ! Un véritable chef-d’œuvre de finesse, une allusion absolument idiote. Quelle subtilité !
Mais laissez-moi vous dire une chose pseudo-critique qui a malheureusement trouvé la sortie de ce préservatif, sachez que les poètes n'ont que faire de si basses pensées. Ils préfèrent la profondeur de leurs vers, là où l’éternité n’a ni "like" ni filtre.
Est-ce assez poétique ou dois je reformuler ?
@Julien Jacques
Votre machin est complètement invraisemblable : quand on rêve de gloire littéraire (éternelle de surcroît), on ne barbote pas dans la poésie. Au cas où la chose vous aurait échappé, plus personne ne lit de poésie. La poésie, de nos jours, c'est comme le préservatif en vessie de porc : ça a disparu.