Quand la mort frappe, elle ne brise pas seulement une vie, elle bouleverse tout un tissu de liens tissés dans l’amour, l’amitié et la mémoire. Les liens de la mort, la vie les coupe raconte ce moment de bascule où l’absence devient présence obsédante, où les vivants cherchent à apprivoiser la douleur, et où chaque souvenir devient une braise encore chaude.
À travers une écriture à la fois intime et universelle, j’y mêle confidences, réflexions spirituelles et observations lucides pour sonder le mystère de la perte. Ce récit n’est pas seulement celui de la mort, mais aussi celui de la vie qui persiste, vacillante mais tenace, au cœur même des ténèbres.
Ce livre est noté par
@Pascal. S
Ma voix et ma foi, ont parlé. Oui, c'est voulu cette écriture là, simple. On me rappelle trop souvent que mes mots peuvent perdre... alors j’ai écrit pour que personne ne se perde vraiment en me lisant et heureusement cela n’à pas été votre cas. C’est vrai qu'il y a ces non-dits mais l’essentiel je pense a été écrit.
J’aime cette citation de Victor Hugo, cité par vous, comme j’aime également son texte "Demain dès l’aube".
Merci pour votre lecture et ce commentaire.
@KathL
Je vous remercie pour ces retours très constructifs. Moi-même j’ai souvent du mal à me suivre et c’est ce presque désordre qui me recentre parfois, je ne sais pas si vous me comprenez.
Merci à vous de m’avoir lu et que ce témoignage vous parle autant qu’à moi.
Pardonnez-moi les autres silences...
habitée par une voix intérieure qui nourrit chacune de mes pages, c’est ce que j’ai senti. Pas facile de vous suivre tout le temps, vous avez l’écriture que j’appelle sobre, c’est-à-dire que vous voulez que le lecteur, la lectrice, fasse une partie du chemin, continue la phrase, imagine la suite. J’aime ça. Mais il manque parfois une info, un détail, un prénom, pour être sûre de savoir qui parle, ou à qui. Peut-être pourriez-vous reprendre quelques scènes ? Au-delà de ce commentaire, il y a ce message que vous faites passer, et auquel j’adhère. Merci pour ce témoignage.
" Tu n'es plus là où tu étais mais tu es partout là où je suis". En vous lisant, il m'est venu cette citation de Victor Hugo qui fait sens suite au départ d'un proche. L’écriture est simple et emploie un langage parlé avec des phrases courtes et non ciselées qui apparaissent au travers de nombreux dialogues. Des paroles affectueuses, tendres envers le défunt et ses proches et une foi en Dieu chevillée au corps qui porte et soulage la douleur. Parfois il m'a semblé que vous enfonciez des portes ouvertes qui n'en restent pas pour autant moins vraies et qui retranscrivent bien le réel lorsque vous rappelez qu'il y a les personnes mariées uniquement présents à la cérémonie et pour la dôte et absents dans le quotidien.